Des échanges, des discussions et au final, des affaires : c’est l’objectif de cette deuxième journée en Turquie de François Hollande. Au programme, il y a un forum organisé entre hommes d’affaires. Des Turcs, bien sûr, mais aussi des Français venus nombreux avec la délégation présidentielle : des chefs d’entreprises de toutes tailles et notamment des grandes. Les PDG de GDF-Suez, Thalès, du Club Méditerranée sont par exemple de ce déplacement. Mais il y a aussi quelques PME qui ont embarqué dans l’Airbus présidentiel. Il faut dire que les perspectives sont très intéressantes.
Besoins énormes
Depuis une dizaine d’années, la croissance turque a permis au PIB par habitant du pays de tout simplement tripler mais on assiste aussi à l’émergence d’une importante classe moyenne au pouvoir d'achat de plus en plus important. Toutes les grandes enseignes internationales sont d’ailleurs visibles dans les centres commerciaux turcs. Les besoins en infrastructures de transport et d’énergie ou encore en industrie pharmaceutique sont énormes. Des domaines dans lesquels les groupes français sont bien placés. Airbus a déjà enregistré de grosses commandes de la part des compagnies turques.
Faire mieux
Mais il est possible de faire encore mieux. Depuis quelques années, la part de marché française dans les importations turques a diminué de moitié. A l’Elysée, on veut arrêter cette hémorragie et avec son homologue turc Abdullah Gül, François hollande a fixé un objectif : arriver à 20 milliards d’euros d’échanges annuels.
Source : Rfi.fr
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