« L’intelligence artificielle ne doit en aucun cas remplacer les composantes humaines essentielles de l’apprentissage », a plaidé António Guterres dans un message rendu public en prélude de la Journée internationale de l’éducation prévue le 24 janvier.
Le secrétaire général de l’Organisation des Nations unies, António Guterres l’ONU note qu’à mesure que « les systèmes fondés sur l’intelligence artificielle deviennent plus puissants, le décalage entre l’intention humaine et les impacts d’une action automatisée pourrait bien s’accentuer ».
Il a rappelé que l’éducation constitue un droit humain fondamental et un élément fondateur permettant à chaque personne de s’épanouir pleinement, en même temps qu’elle apporte croissance et prospérité à la société et à l’économie. Toutefois, il a estimé que, l’évolution rapide de la technologie, à l’instar de l’intelligence artificielle, offre d’immenses possibilités pour accompagner les élèves de tous âges tout au long de leur parcours, mais les gains induits ne vont pas sans des « risques redoutables ».
Dans ce cadre, a-t-il indiqué, tous les acteurs de l’éducation doivent « veiller à ce que tous les utilisateurs et utilisatrices soient dotés des outils et des connaissances nécessaires pour utiliser intelligemment cette technologie, dans un souci de sécurité et d’éthique ».
Cela devrait pouvoir se faire « grâce au référentiel de compétences de l’UNESCO destiné à aider apprenants et enseignants à intégrer l’intelligence artificielle dans leur travail », a ajouté le SG de l’ONU.
Le secrétaire général de l’Organisation des Nations unies, António Guterres l’ONU note qu’à mesure que « les systèmes fondés sur l’intelligence artificielle deviennent plus puissants, le décalage entre l’intention humaine et les impacts d’une action automatisée pourrait bien s’accentuer ».
Il a rappelé que l’éducation constitue un droit humain fondamental et un élément fondateur permettant à chaque personne de s’épanouir pleinement, en même temps qu’elle apporte croissance et prospérité à la société et à l’économie. Toutefois, il a estimé que, l’évolution rapide de la technologie, à l’instar de l’intelligence artificielle, offre d’immenses possibilités pour accompagner les élèves de tous âges tout au long de leur parcours, mais les gains induits ne vont pas sans des « risques redoutables ».
Dans ce cadre, a-t-il indiqué, tous les acteurs de l’éducation doivent « veiller à ce que tous les utilisateurs et utilisatrices soient dotés des outils et des connaissances nécessaires pour utiliser intelligemment cette technologie, dans un souci de sécurité et d’éthique ».
Cela devrait pouvoir se faire « grâce au référentiel de compétences de l’UNESCO destiné à aider apprenants et enseignants à intégrer l’intelligence artificielle dans leur travail », a ajouté le SG de l’ONU.
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