Le ministère public sud-africain a émis un mandat d'arrêt contre Grace Mugabe, l’ancienne première dame du Zimbabwe, selon des médias locaux.
Un groupe lobbyistes des droits de l’homme aurait fait pression pour obtenir cette décision de la justice.
Mme Mugabe a été accusée d'avoir agressé une jeune mannequin, Gabriella Engels, dans un hôtel de Johannesburg, en 2017.
Elle a été autorisée à rentrer chez elle après avoir évoqué l'immunité diplomatique, mais en juillet dernier, un tribunal a annulé la décision du gouvernement de lui accorder cette immunité.
Mme Mugabe avait déclaré à l'époque qu'elle avait agi en état de légitime défense après que le modèle "en état d'ébriété et sans retenu" l’a attaquée dans une chambre d'hôtel où elle résidait avec ses deux fils.
Selon Times Live, le groupe de lobby AfriForum, qui poursuit l'affaire, a fait l'annonce du mandat d'arrêt lors d'une conférence de presse mercredi matin.
"Il semble que justice va être rendue et nous attendons avec impatience que cette affaire aille de l'avant" affirme Kallie Kriel, PDG d'AfriForum.
La présumée agression a eu lieu environ trois mois avant la prise du pouvoir par les militaires au Zimbabwe.
Robert Mugabe a été obligé de démissionner de son poste de président après 37 ans au pouvoir.
Un groupe lobbyistes des droits de l’homme aurait fait pression pour obtenir cette décision de la justice.
Mme Mugabe a été accusée d'avoir agressé une jeune mannequin, Gabriella Engels, dans un hôtel de Johannesburg, en 2017.
Elle a été autorisée à rentrer chez elle après avoir évoqué l'immunité diplomatique, mais en juillet dernier, un tribunal a annulé la décision du gouvernement de lui accorder cette immunité.
Mme Mugabe avait déclaré à l'époque qu'elle avait agi en état de légitime défense après que le modèle "en état d'ébriété et sans retenu" l’a attaquée dans une chambre d'hôtel où elle résidait avec ses deux fils.
Selon Times Live, le groupe de lobby AfriForum, qui poursuit l'affaire, a fait l'annonce du mandat d'arrêt lors d'une conférence de presse mercredi matin.
"Il semble que justice va être rendue et nous attendons avec impatience que cette affaire aille de l'avant" affirme Kallie Kriel, PDG d'AfriForum.
La présumée agression a eu lieu environ trois mois avant la prise du pouvoir par les militaires au Zimbabwe.
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