Absente de la dernière Coupe du monde, l'Italie était très attendue vendredi, pour le coup d'envoi de l'Euro, et elle ne s'est pas ratée devant son public romain. Sérieuse et appliquée, cinq ans après son dernier match dans une grande compétition, la Nazionale n'a pas tremblé une seconde contre la Turquie (3-0), qui n'a pas été à la hauteur du rendez-vous en refusant le jeu.
Après un premier quart d'heure franchement soporifique, les hommes de Roberto Mancini ont vite pris le contrôle du match sous l'impulsion d'un Lorenzo Insigne remuant, péchant par maladresse davantage que par manque d'initiative (14 tirs en première période, 3 cadrés) contre une équipe turque parfaitement inoffensive (0 tir à la pause, 2 au total) et laxiste au marquage.
Senol Günes n'avait vraiment pas de quoi se réjouir et il a rapidement réagi en lançant le feu follet Cengiz Ünder à la place de Yusuf Yazici à la mi-temps. Mais la physionomie du match n'a pas changé d'un pouce. Au contraire, l'Italie a resserré un peu plus son étreinte au retour des vestiaires, ajoutant à la maîtrise technique l'efficacité : après que Domenico Berardi a poussé Mehdi Demiral à la faute dans la surface (53e, 1-0), Ciro Immobile a doublé la mise de près (66e, 2-0), avant de décaler Insigne dans la surface sur un ballon mal dégagé par la défense turque (79e, 3-0).
L’ÉQUIPE
Après un premier quart d'heure franchement soporifique, les hommes de Roberto Mancini ont vite pris le contrôle du match sous l'impulsion d'un Lorenzo Insigne remuant, péchant par maladresse davantage que par manque d'initiative (14 tirs en première période, 3 cadrés) contre une équipe turque parfaitement inoffensive (0 tir à la pause, 2 au total) et laxiste au marquage.
Senol Günes n'avait vraiment pas de quoi se réjouir et il a rapidement réagi en lançant le feu follet Cengiz Ünder à la place de Yusuf Yazici à la mi-temps. Mais la physionomie du match n'a pas changé d'un pouce. Au contraire, l'Italie a resserré un peu plus son étreinte au retour des vestiaires, ajoutant à la maîtrise technique l'efficacité : après que Domenico Berardi a poussé Mehdi Demiral à la faute dans la surface (53e, 1-0), Ciro Immobile a doublé la mise de près (66e, 2-0), avant de décaler Insigne dans la surface sur un ballon mal dégagé par la défense turque (79e, 3-0).
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