Une « impasse » générale. Le représentant de l’ONU en Libye, Jan Kubis, s’est dit « profondément préoccupé » jeudi 15 juillet : pour lui, les conditions sont loin d’être réunies pour les élections générales prévues pour le 24 décembre, que cela concerne les situations politique, sécuritaire ou budgétaire.
Quant aux 20 000 mercenaires étrangers déployés dans le pays, il est temps de régler la question pour le Premier ministre libyen Abdel Hamid Dbeibah. « La question des mercenaires et des combattants étrangers présents sur le territoire libyen est encore l’une des principales entraves à la stabilité en Libye. Je m’adresse à votre auguste Conseil : il nous faut recevoir une aide pour pouvoir traiter avec la fermeté nécessaire cette question », a-t-il déclaré.
« Créer une dynamique »
Jean-Yves Le Drian, qui présidait le Conseil de sécurité de l'ONU, a proposé un retrait d’abord des combattants syriens de chacun des deux camps simultanément pour « créer une dynamique ». Puis des mercenaires de chacune des parties – sans les nommer, les « Wagner » côté russe et les « Sadate » côté turc.
Même si tous pensent que la paix n’a jamais été autant à portée de main en Libye et ont salué la création d’une commission pour la réconciliation, ils savent aussi que le retrait des mercenaires reste une condition prérequise à toute élection.
Réunies en Suisse du 28 juin au 2 juillet, 75 personnalités libyennes de tous bords, choisies par l'ONU dans le cadre d'un processus de réconciliation, avaient échoué à s'accorder sur les modalités des élections législatives et présidentielle.
Quant aux 20 000 mercenaires étrangers déployés dans le pays, il est temps de régler la question pour le Premier ministre libyen Abdel Hamid Dbeibah. « La question des mercenaires et des combattants étrangers présents sur le territoire libyen est encore l’une des principales entraves à la stabilité en Libye. Je m’adresse à votre auguste Conseil : il nous faut recevoir une aide pour pouvoir traiter avec la fermeté nécessaire cette question », a-t-il déclaré.
« Créer une dynamique »
Jean-Yves Le Drian, qui présidait le Conseil de sécurité de l'ONU, a proposé un retrait d’abord des combattants syriens de chacun des deux camps simultanément pour « créer une dynamique ». Puis des mercenaires de chacune des parties – sans les nommer, les « Wagner » côté russe et les « Sadate » côté turc.
Même si tous pensent que la paix n’a jamais été autant à portée de main en Libye et ont salué la création d’une commission pour la réconciliation, ils savent aussi que le retrait des mercenaires reste une condition prérequise à toute élection.
Réunies en Suisse du 28 juin au 2 juillet, 75 personnalités libyennes de tous bords, choisies par l'ONU dans le cadre d'un processus de réconciliation, avaient échoué à s'accorder sur les modalités des élections législatives et présidentielle.
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