"Dans 15 jours on créera la surprise", a affirmé M. Jacob, même s'il s'est refusé, lors d'une conférence de presse, à tout pronostic sur le nombre de sièges gagnables (LR en détient une centaine aujourd'hui, ce qui en fait le principal groupe d'opposition).
"Ceux qui disent +les pauvres, ils vont disparaître+ en seront pour leurs frais", a de son côté assuré le président des Hauts-de-France Xavier Bertrand, alors que LR a enregistré à la présidentielle un revers historique avec 4,8% des voix. Même si "on ne va pas tout renverser et avoir une majorité", LR "a une carte à jouer sur la valeur autorité, la valeur travail", a-t-il ajouté.
Tous deux s'exprimaient après un conseil stratégique qui a rassemblé la majorité des dirigeants, à quelques absents près - ni Laurent Wauquiez, ni Eric Ciotti, ni Valérie Pécresse n'étaient là.
A l’Assemblée, "les députés LR sont en situation de faire changer les choses", a ajouté M. Jacob, en vantant "l'ancrage local" et la capacité de LR à être "force de proposition". Ainsi "les textes qui vont dans le bon sens, on sait les voter, les autres on sait s’opposer avec fermeté" et "on continuera dans cet esprit", a-t-il ajouté. Mais LR ne sera "certainement pas" un "marchepied" de la future majorité, a-t-il averti.
Interrogé sur le "vote utile" dont LR a fait les frais à la présidentielle, il a estimé que "c'est nous le vote utile, nous serons utiles à la France". M. Jacob a aussi taclé "un gouvernement totalement absent" et son "incapacité à porter une réforme quelle qu’elle soit", et mis en garde contre le risque d'"un quinquennat pour rien".
Quant à la Nupes, l'alliance de gauche pour les législatives, il a vilipendé "des gens qui bloquent tout" et "une arnaque de M. Mélenchon". Pour LR se pose en filigrane la question de l'avenir, après la débâcle de la présidentielle: "Plus on sera nombreux à l'Assemblée plus on aura de force pour rebondir", a affirmé M. Bertrand.
"Ceux qui disent +les pauvres, ils vont disparaître+ en seront pour leurs frais", a de son côté assuré le président des Hauts-de-France Xavier Bertrand, alors que LR a enregistré à la présidentielle un revers historique avec 4,8% des voix. Même si "on ne va pas tout renverser et avoir une majorité", LR "a une carte à jouer sur la valeur autorité, la valeur travail", a-t-il ajouté.
Tous deux s'exprimaient après un conseil stratégique qui a rassemblé la majorité des dirigeants, à quelques absents près - ni Laurent Wauquiez, ni Eric Ciotti, ni Valérie Pécresse n'étaient là.
A l’Assemblée, "les députés LR sont en situation de faire changer les choses", a ajouté M. Jacob, en vantant "l'ancrage local" et la capacité de LR à être "force de proposition". Ainsi "les textes qui vont dans le bon sens, on sait les voter, les autres on sait s’opposer avec fermeté" et "on continuera dans cet esprit", a-t-il ajouté. Mais LR ne sera "certainement pas" un "marchepied" de la future majorité, a-t-il averti.
Interrogé sur le "vote utile" dont LR a fait les frais à la présidentielle, il a estimé que "c'est nous le vote utile, nous serons utiles à la France". M. Jacob a aussi taclé "un gouvernement totalement absent" et son "incapacité à porter une réforme quelle qu’elle soit", et mis en garde contre le risque d'"un quinquennat pour rien".
Quant à la Nupes, l'alliance de gauche pour les législatives, il a vilipendé "des gens qui bloquent tout" et "une arnaque de M. Mélenchon". Pour LR se pose en filigrane la question de l'avenir, après la débâcle de la présidentielle: "Plus on sera nombreux à l'Assemblée plus on aura de force pour rebondir", a affirmé M. Bertrand.
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