1057 «comptes dormants» ont été recensés dans les banques et établissements financiers sénégalais. Le Directeur national de la BCEAO (Banque Centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest) en a fait la révélation, face à la presse, ce mercredi, à l’issue de la rencontre trimestrielle entre l’agence nationale de la BCEAO et l’Association des professionnels de banques et établissements financiers.
«Lorsqu’un compte n’a pas connu de mouvement sur huit (8) ans, nous considérons que c’est un compte dormant. Et, en ce moment, il y a un travail qu’on demande à la banque, c’est d’aller à la recherche du client et c’est à l’issue de ce délai de deux (2) ans que ces fonds sont transférés à la banque centrale qui va publier sur son site internet la liste de ces comptes, avec une obligation de garde jusqu’à 30 ans, avant que cette somme ne soit dévolue au Trésor public du pays concerné. C’est une façon de ne plus laisser l’argent dans les livres des banques», a soutenu Ahmadou Al Aminou LO
Selon lui, «c’est une façon de ne plus laisser cet argent dans les livres des banques trop longtemps ». Et, «le processus consiste à les transférer à la BCEAO pour le garder le plus longtemps possible et permettre entre temps au client ou à un héritier de se manifester», a-t-il expliqué arguant que «le cas contraire, les fonds (seront) reversés au Trésor concerné».
«Lorsqu’un compte n’a pas connu de mouvement sur huit (8) ans, nous considérons que c’est un compte dormant. Et, en ce moment, il y a un travail qu’on demande à la banque, c’est d’aller à la recherche du client et c’est à l’issue de ce délai de deux (2) ans que ces fonds sont transférés à la banque centrale qui va publier sur son site internet la liste de ces comptes, avec une obligation de garde jusqu’à 30 ans, avant que cette somme ne soit dévolue au Trésor public du pays concerné. C’est une façon de ne plus laisser l’argent dans les livres des banques», a soutenu Ahmadou Al Aminou LO
Selon lui, «c’est une façon de ne plus laisser cet argent dans les livres des banques trop longtemps ». Et, «le processus consiste à les transférer à la BCEAO pour le garder le plus longtemps possible et permettre entre temps au client ou à un héritier de se manifester», a-t-il expliqué arguant que «le cas contraire, les fonds (seront) reversés au Trésor concerné».
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