
Dans un rapport publié mardi 6 juin, la Banque Mondiale a appelé à densifier les investissements privés dans les infrastructures de transport et de distribution de l'électricité. Ces dernières constituent un élément incontournable de la chaîne de valeur du secteur de l'électricité. En Afrique, le transport de l'électricité est souvent financé sur fonds publics et les principaux décideurs n'accordent pas vraiment d'importance importance aux nouveaux modes de financement faisant appel au secteur privé.
Le directeur principal du pôle mondial d'expertise en Energie et industries extractives de la Banque Mondiale Riccardo Puliti souligne dans un communiqué de la Banque Mondiale que "l'Afrique pourrait bénéficier de ces financements privés qui ont facilité le déploiement d’infrastructures de transport d’électricité dans de nombreuses régions du monde. Mais pour attirer les investisseurs, les gouvernements doivent adopter des politiques capables de sous-tendre cette stratégie et mettre en place un environnement commercial, réglementaire et juridique adapté afin de nourrir leur intérêt".
Après s'être basé sur sur des projets indépendants de transport d’électricité dans cinq pays (Brésil, Chili, Inde, Pérou et Philippines), où des réformes d’envergure pour privatiser le secteur de l’énergie ont été engagées, le rapport Linking up: Public-Private Partnerships in Power Transmission in Africa estime qu'entre 3,2 et 4,3 milliards de dollars d'investissements par an serait requis pour étendre le réseau de transport d'électricité, et ce sur la période 2015-40. Il s’agit d’opérations critiques pour fournir une énergie fiable et bon marché aux ménages et aux industries.
A noter qu'il y a une série de recommandations mise en avant par ledit rapport pour permettre à chaque pays de l'adopter à son contexte spécifique.
Le directeur principal du pôle mondial d'expertise en Energie et industries extractives de la Banque Mondiale Riccardo Puliti souligne dans un communiqué de la Banque Mondiale que "l'Afrique pourrait bénéficier de ces financements privés qui ont facilité le déploiement d’infrastructures de transport d’électricité dans de nombreuses régions du monde. Mais pour attirer les investisseurs, les gouvernements doivent adopter des politiques capables de sous-tendre cette stratégie et mettre en place un environnement commercial, réglementaire et juridique adapté afin de nourrir leur intérêt".
Après s'être basé sur sur des projets indépendants de transport d’électricité dans cinq pays (Brésil, Chili, Inde, Pérou et Philippines), où des réformes d’envergure pour privatiser le secteur de l’énergie ont été engagées, le rapport Linking up: Public-Private Partnerships in Power Transmission in Africa estime qu'entre 3,2 et 4,3 milliards de dollars d'investissements par an serait requis pour étendre le réseau de transport d'électricité, et ce sur la période 2015-40. Il s’agit d’opérations critiques pour fournir une énergie fiable et bon marché aux ménages et aux industries.
A noter qu'il y a une série de recommandations mise en avant par ledit rapport pour permettre à chaque pays de l'adopter à son contexte spécifique.
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