Après la décision de la CPI d'assouplir son régime de liberté conditionnelle, les partisans de l'ancien président rêvent de le voir rentrer au pays en vue de la présidentielle du 31 octobre. Une possibilité incertaine, puisque l'État ivoirien doit l'accepter, et qu'il y est sous le coup d'une lourde condamnation.
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