Les dirigeants comoriens sont arrivés à Paris avec un programme de développement à présenter aux bailleurs institutionnels et privés… Il s’articule autour de trois secteurs économiques : l’énergie, les transports terrestres, maritimes et aériens ainsi que le tourisme. L’archipel veut par exemple se doter d’un réseau routier moderne de 1 000 km d’ici 2030.
À noter aussi des investissements nécessaires dans l’agriculture et dans le numérique, afin de moderniser l’économie de l’archipel. Ce programme a été élaboré avec la volonté que les manquements du passé ne soient qu’un mauvais souvenir.
« Le peuple comorien et sa diaspora aspirent à un changement profond, qui devra se concrétiser par des résultats concrets et tangibles, a déclaré le président comorien, Azali Assoumani. Notre jeunesse, qui est l’avenir de notre société, espère un avenir meilleur. Une grande partie des différentes couches de la population comorienne fait face aux défis de gouvernance, aux déficits socio-économiques cumulés depuis des décennies, créant une frustration compréhensible de leur part. »
Un défi que les impacts des changements climatiques ne font qu’aggraver. En témoignent les dégâts matériels importants causés par le cyclone Kenneth qui a frappé les Comores en avril dernier.
À noter aussi des investissements nécessaires dans l’agriculture et dans le numérique, afin de moderniser l’économie de l’archipel. Ce programme a été élaboré avec la volonté que les manquements du passé ne soient qu’un mauvais souvenir.
« Le peuple comorien et sa diaspora aspirent à un changement profond, qui devra se concrétiser par des résultats concrets et tangibles, a déclaré le président comorien, Azali Assoumani. Notre jeunesse, qui est l’avenir de notre société, espère un avenir meilleur. Une grande partie des différentes couches de la population comorienne fait face aux défis de gouvernance, aux déficits socio-économiques cumulés depuis des décennies, créant une frustration compréhensible de leur part. »
Un défi que les impacts des changements climatiques ne font qu’aggraver. En témoignent les dégâts matériels importants causés par le cyclone Kenneth qui a frappé les Comores en avril dernier.
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