« Ceux qui ont abattu le drone ne savaient pas qu’il était américain, mais refusent toujours de rendre les débris », a expliqué en substance le chef du commandement militaire américain pour l’Afrique. Selon lui, il ne fait aucun doute que l’engin disparu il y a deux semaines a été abattu par des milices privées russes ou par les forces du maréchal Haftar.
Une nouvelle affaire qui illustre les tensions grandissantes entre les États-Unis et la Russie dans le conflit libyen. A plusieurs reprises, Washington a accusé Moscou de soutenir dans l’ombre les forces du maréchal Haftar, qui ont lancé une offensive pour la reprise de Tripoli en avril dernier.
Les Américains dénoncent la présence de mercenaires privés russes et assurent que des troupes régulières seraient également présentes. Des accusations démenties à chaque fois par Moscou. Les responsables militaires américains disent s’inquiéter des violations multiples de l’embargo sur les armes et des répercussions de l’ingérence russe.
Des tensions et une guerre d’influence qui selon l’envoyé spécial des Nations unies pourraient mettre en danger toute résolution du conflit. L’ONU tente déjà de limiter les interventions d’autres pays comme la Turquie ou les Émirats.
Une nouvelle affaire qui illustre les tensions grandissantes entre les États-Unis et la Russie dans le conflit libyen. A plusieurs reprises, Washington a accusé Moscou de soutenir dans l’ombre les forces du maréchal Haftar, qui ont lancé une offensive pour la reprise de Tripoli en avril dernier.
Les Américains dénoncent la présence de mercenaires privés russes et assurent que des troupes régulières seraient également présentes. Des accusations démenties à chaque fois par Moscou. Les responsables militaires américains disent s’inquiéter des violations multiples de l’embargo sur les armes et des répercussions de l’ingérence russe.
Des tensions et une guerre d’influence qui selon l’envoyé spécial des Nations unies pourraient mettre en danger toute résolution du conflit. L’ONU tente déjà de limiter les interventions d’autres pays comme la Turquie ou les Émirats.
Autres articles
-
Emmanuel Macron reconnaît «le rôle et la responsabilité de la France» dans la «guerre» au Cameroun durant la période coloniale
-
Bande de Gaza: «On attend que la communauté internationale dise stop au massacre»
-
La Communauté de développement de l’Afrique australe veut dépendre «davantage de ses propres ressources»
-
L’intelligence artificielle en Afrique, entre avancées et difficultés
-
Burkina Faso : prison à vie pour 13 personnes impliquées dans des «actes de terrorisme», dont les attaques de 2018 contre l'ambassade de France