Dans un communiqué commun, les groupes rebelles accusent « la délégation gouvernementale avec la complicité d'agents provocateurs infiltrés » de « perturber les négociations par des actions de harcèlements et d'intimidations, des provocations et tentatives d'agressions en vue de créer des incidents physiques ». Les mouvements réaffirment leur volonté de parvenir à un accord de paix, mais ils indiquent se réserver le droit de suspendre leur participation.
« En raison de différentes manœuvres dilatoires que la délégation du gouvernement est en train de mettre en place ici, notamment des provocations, y compris jusqu'à des agressions physiques, le rejet par la délégation du gouvernement de la proposition de synthèse, que les directeurs nous ont proposé, nous pensons que c’est une des plus grandes manœuvres pour retarder les choses », explique Adoum Yacoub, président du groupe de Rome, joint par Magali Lagrange de la rédaction Afrique.
Si les rebelles « réaffirment leur volonté de parvenir à un accord de paix (...) dans un Tchad réconcilié et prospère », les groupes armés « se réservent le droit de suspendre leur participation ou de se retirer des pourparlers ». « Le gouvernement en portera l'entière responsabilité », affirment également les mouvements politico-militaires dans le communiqué publié samedi.
Ouvert à une cinquantaine de groupes armés, le pré-dialogue de Doha doit les amener à la table d'un « Dialogue national inclusif » avec les oppositions politiques et armées, censé déboucher sur une nouvelle Constitution et des élections « libres et démocratiques ». Mais plus de trois mois après le début du pré-dialogue, les discussions piétinent.
« Nous pensons qu’il y a beaucoup de mauvaise volonté de la part de la délégation du gouvernement et que nous ne pouvons pas continuer à perdre davantage de temps ici si les choses doivent continuer au même rythme. Nous avons déjà un peu plus de trois mois, et nous pensons qu’on aurait dû arriver à une solution si des deux côtés il y avait toute la volonté politique pour parvenir à un accord. »
Dans un communiqué commun, les groupes rebelles accusent « la délégation gouvernementale avec la complicité d'agents provocateurs infiltrés » de « perturber les négociations par des actions de harcèlements et d'intimidations, des provocations et tentatives d'agressions en vue de créer des incidents physiques ». Les mouvements réaffirment leur volonté de parvenir à un accord de paix, mais ils indiquent se réserver le droit de suspendre leur participation.
« En raison de différentes manœuvres dilatoires que la délégation du gouvernement est en train de mettre en place ici, notamment des provocations, y compris jusqu'à des agressions physiques, le rejet par la délégation du gouvernement de la proposition de synthèse, que les directeurs nous ont proposé, nous pensons que c’est une des plus grandes manœuvres pour retarder les choses », explique Adoum Yacoub, président du groupe de Rome, joint par Magali Lagrange de la rédaction Afrique.
Si les rebelles « réaffirment leur volonté de parvenir à un accord de paix (...) dans un Tchad réconcilié et prospère », les groupes armés « se réservent le droit de suspendre leur participation ou de se retirer des pourparlers ». « Le gouvernement en portera l'entière responsabilité », affirment également les mouvements politico-militaires dans le communiqué publié samedi.
Ouvert à une cinquantaine de groupes armés, le pré-dialogue de Doha doit les amener à la table d'un « Dialogue national inclusif » avec les oppositions politiques et armées, censé déboucher sur une nouvelle Constitution et des élections « libres et démocratiques ». Mais plus de trois mois après le début du pré-dialogue, les discussions piétinent.
« Nous pensons qu’il y a beaucoup de mauvaise volonté de la part de la délégation du gouvernement et que nous ne pouvons pas continuer à perdre davantage de temps ici si les choses doivent continuer au même rythme. Nous avons déjà un peu plus de trois mois, et nous pensons qu’on aurait dû arriver à une solution si des deux côtés il y avait toute la volonté politique pour parvenir à un accord. »
« En raison de différentes manœuvres dilatoires que la délégation du gouvernement est en train de mettre en place ici, notamment des provocations, y compris jusqu'à des agressions physiques, le rejet par la délégation du gouvernement de la proposition de synthèse, que les directeurs nous ont proposé, nous pensons que c’est une des plus grandes manœuvres pour retarder les choses », explique Adoum Yacoub, président du groupe de Rome, joint par Magali Lagrange de la rédaction Afrique.
Si les rebelles « réaffirment leur volonté de parvenir à un accord de paix (...) dans un Tchad réconcilié et prospère », les groupes armés « se réservent le droit de suspendre leur participation ou de se retirer des pourparlers ». « Le gouvernement en portera l'entière responsabilité », affirment également les mouvements politico-militaires dans le communiqué publié samedi.
Ouvert à une cinquantaine de groupes armés, le pré-dialogue de Doha doit les amener à la table d'un « Dialogue national inclusif » avec les oppositions politiques et armées, censé déboucher sur une nouvelle Constitution et des élections « libres et démocratiques ». Mais plus de trois mois après le début du pré-dialogue, les discussions piétinent.
« Nous pensons qu’il y a beaucoup de mauvaise volonté de la part de la délégation du gouvernement et que nous ne pouvons pas continuer à perdre davantage de temps ici si les choses doivent continuer au même rythme. Nous avons déjà un peu plus de trois mois, et nous pensons qu’on aurait dû arriver à une solution si des deux côtés il y avait toute la volonté politique pour parvenir à un accord. »
Dans un communiqué commun, les groupes rebelles accusent « la délégation gouvernementale avec la complicité d'agents provocateurs infiltrés » de « perturber les négociations par des actions de harcèlements et d'intimidations, des provocations et tentatives d'agressions en vue de créer des incidents physiques ». Les mouvements réaffirment leur volonté de parvenir à un accord de paix, mais ils indiquent se réserver le droit de suspendre leur participation.
« En raison de différentes manœuvres dilatoires que la délégation du gouvernement est en train de mettre en place ici, notamment des provocations, y compris jusqu'à des agressions physiques, le rejet par la délégation du gouvernement de la proposition de synthèse, que les directeurs nous ont proposé, nous pensons que c’est une des plus grandes manœuvres pour retarder les choses », explique Adoum Yacoub, président du groupe de Rome, joint par Magali Lagrange de la rédaction Afrique.
Si les rebelles « réaffirment leur volonté de parvenir à un accord de paix (...) dans un Tchad réconcilié et prospère », les groupes armés « se réservent le droit de suspendre leur participation ou de se retirer des pourparlers ». « Le gouvernement en portera l'entière responsabilité », affirment également les mouvements politico-militaires dans le communiqué publié samedi.
Ouvert à une cinquantaine de groupes armés, le pré-dialogue de Doha doit les amener à la table d'un « Dialogue national inclusif » avec les oppositions politiques et armées, censé déboucher sur une nouvelle Constitution et des élections « libres et démocratiques ». Mais plus de trois mois après le début du pré-dialogue, les discussions piétinent.
« Nous pensons qu’il y a beaucoup de mauvaise volonté de la part de la délégation du gouvernement et que nous ne pouvons pas continuer à perdre davantage de temps ici si les choses doivent continuer au même rythme. Nous avons déjà un peu plus de trois mois, et nous pensons qu’on aurait dû arriver à une solution si des deux côtés il y avait toute la volonté politique pour parvenir à un accord. »
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