Les services publics tendent de plus en plus à disparaître, une équation que les syndicalistes tiennent à solutionner. Selon ces derniers, les services publics sont souvent financés par le privé ou donner en sous-traitance à des privés. Ce qui constitue une injustice d'autant plus que les pauvres ne pourront pas accéder aux services de base si cela continue. Les partenariats public/privé sont de ce fait selon le vice président de la confédération des syndicats nationaux du Québec, Olivie Roy une manière de privatiser les services publics. Et de l'avis de Mamdou Diop Castro, dans ce contexte d'endettement chronique, de réajustement structurel, c'est la qualité du service qui se pose. Au Sénégal a-t-il ajouté, l'Etat doit créer les conditions pour que les services restent publics et de qualité car il est noté actuellement un processus de privatisation de ses services. Selon Castro, ce qui existe au Sénégal ces des gens qui disent qu'ils font du service public mais avec une gestion privée, de la subterfuge assène -t-il.
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