
Cet atelier a pour principal objectif de vérifier l’effectivité de la mise en œuvre des mesures entreprises et d’apprécier les résultats qu’elles ont permis d’atteindre dans cette lutte contre le blanchiment de capitaux.
A ce propos, la Centif est disposé à accompagner le Sénégal dans la lutte contre «Je voudrais assurer de la disponibilité du CENTIF à coopérer avec les autres acteurs nationaux pour qu’ensemble nous permettions à notre de franchir d’autres étapes dans la lutte contre le blanchiment des capitaux et de la criminalité financière», a dit Wally Ndour.
Selon le président de la Centif, «La nouvelle méthodologie qui sert de cadre pour l’évaluation mutuelle repose toujours sur la question des conformité par rapport aux recommandations du GAFI (Groupe d’action financière sur le blanchiment de capitaux », a-t-il indiqué.
Waly Ndour de rappeler que le pays évalué doit rendre disponible toute information selon les lois et règlements ayant un lien avec la politique de renforcement des systèmes de lutte.
Le président de la CENTIF a également soutenu que « Cette réunion devra permettre aux acteurs de prendre la pleine mesure de leurs responsabilités afin que de relever le double défi du déroulement de l’opération et de la reconnaissance de la communauté internationale sur les progrès accomplis par le Sénégal dans le domaine de la lutte contre le blanchiment des capitaux et du financement du terrorisme », a fait savoir ce dernier lors de l’atelier.
A l’en croire «Cette évaluation est importante pour le gouvernement dans ce sens que l’appréciation positive de notre dispositif de lutte contre le blanchiment des capitaux et le financement du terrorisme va traduire tous les efforts que le Sénégal a fournis depuis la première évaluation de 2007 », a pour sa part retenu le secrétaire général du ministère de l’Economie, des Finances et du Plan, Cheikh Tidiane Diop.
Poursuivant sa déclaration Cheikh Tidiane Diop de souligner que «Grâce aux efforts fournis, nous pouvons valablement dire que le Sénégal n’est pas un pays à risque du fait qu’il a un dispositif juridique et institutionnel, des meilleurs standards internationaux en matière de lutte contre les blanchiments des capitaux et le financement du terrorisme ». Avant d’ajouter que l’évaluation nationale des risques que notre pays doit réaliser nécessite, d’après M. Diop, l’intérêt et l’implication de l’ensemble des acteurs.
Le secrétaire général du ministre de l’Economie des finances et du Plan de mentionner que «C’est à cette condition seulement que toutes les informations attestées et des progrès réalisés par notre pays dans la lutte contre le blanchiment des capitaux pourront être mis à jour et tenus à la disposition des évaluateurs et plus tard à l’intention de la communauté internationale», a-t-il poursuivi.
A ce propos, la Centif est disposé à accompagner le Sénégal dans la lutte contre «Je voudrais assurer de la disponibilité du CENTIF à coopérer avec les autres acteurs nationaux pour qu’ensemble nous permettions à notre de franchir d’autres étapes dans la lutte contre le blanchiment des capitaux et de la criminalité financière», a dit Wally Ndour.
Selon le président de la Centif, «La nouvelle méthodologie qui sert de cadre pour l’évaluation mutuelle repose toujours sur la question des conformité par rapport aux recommandations du GAFI (Groupe d’action financière sur le blanchiment de capitaux », a-t-il indiqué.
Waly Ndour de rappeler que le pays évalué doit rendre disponible toute information selon les lois et règlements ayant un lien avec la politique de renforcement des systèmes de lutte.
Le président de la CENTIF a également soutenu que « Cette réunion devra permettre aux acteurs de prendre la pleine mesure de leurs responsabilités afin que de relever le double défi du déroulement de l’opération et de la reconnaissance de la communauté internationale sur les progrès accomplis par le Sénégal dans le domaine de la lutte contre le blanchiment des capitaux et du financement du terrorisme », a fait savoir ce dernier lors de l’atelier.
A l’en croire «Cette évaluation est importante pour le gouvernement dans ce sens que l’appréciation positive de notre dispositif de lutte contre le blanchiment des capitaux et le financement du terrorisme va traduire tous les efforts que le Sénégal a fournis depuis la première évaluation de 2007 », a pour sa part retenu le secrétaire général du ministère de l’Economie, des Finances et du Plan, Cheikh Tidiane Diop.
Poursuivant sa déclaration Cheikh Tidiane Diop de souligner que «Grâce aux efforts fournis, nous pouvons valablement dire que le Sénégal n’est pas un pays à risque du fait qu’il a un dispositif juridique et institutionnel, des meilleurs standards internationaux en matière de lutte contre les blanchiments des capitaux et le financement du terrorisme ». Avant d’ajouter que l’évaluation nationale des risques que notre pays doit réaliser nécessite, d’après M. Diop, l’intérêt et l’implication de l’ensemble des acteurs.
Le secrétaire général du ministre de l’Economie des finances et du Plan de mentionner que «C’est à cette condition seulement que toutes les informations attestées et des progrès réalisés par notre pays dans la lutte contre le blanchiment des capitaux pourront être mis à jour et tenus à la disposition des évaluateurs et plus tard à l’intention de la communauté internationale», a-t-il poursuivi.
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