En prélude à la Journée internationale de la jeune fille qui aura lieu le mercredi 11 octobre à Dakar, le mouvement Plan international Sénégal a fait face à la presse ce matin pour présenter son rapport annuel sur la situation des jeunes filles.
Oumy Lakh Fall d’informer que cette entité, qui avait accompagné en 2015 « tous les Etats, que ce soit les Etats au niveau du Nord ou du Sud», pour atteindre les objectifs de développement durables, se repositionne dans le combat pour libérer les jeunes filles.
Sur ce, a-t-elle ajouté : «nous avons initié un concept qui s’appelle la « Relève » qui voudrait que les jeunes filles de 2030, puissent exprimer leur potentiel, montrer qu’elles sont des leaders ».
A l’en croire, depuis 2015, chaque le 11 octobre à travers toutes les institutions publiques et les espaces d’influences, les jeunes filles viennent et prennent la place des leaders féministes et parlent en leur nom.
Venue représenter le ministre de la Femme, de la Famille et du Genre, la directrice de la famille et de la protection des groupes vulnérables a salué l’initiative. En effet, à déclaré Coumba Thiam, «force est de constater qu’en dépit des efforts consentis, les défis restent à relever car certaines pratiques néfastes demeurent une réalité dans nos sociétés».
Face à l’ampleur du phénomène qui exige «un profond changement de mentalités, la directrice de la famille et de la protection des groupes vulnérables est d’avis qu’ : «une réponse multisectorielle ainsi que l’implication et la mobilisation de l’ensemble des acteurs dans la promotion des droits humains de l’enfant et de la jeune fille», sont nécessaires.
Oumy Lakh Fall d’informer que cette entité, qui avait accompagné en 2015 « tous les Etats, que ce soit les Etats au niveau du Nord ou du Sud», pour atteindre les objectifs de développement durables, se repositionne dans le combat pour libérer les jeunes filles.
Sur ce, a-t-elle ajouté : «nous avons initié un concept qui s’appelle la « Relève » qui voudrait que les jeunes filles de 2030, puissent exprimer leur potentiel, montrer qu’elles sont des leaders ».
A l’en croire, depuis 2015, chaque le 11 octobre à travers toutes les institutions publiques et les espaces d’influences, les jeunes filles viennent et prennent la place des leaders féministes et parlent en leur nom.
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