La présidente du Conseil départemental de Bambey a noté hier, lors de la rencontre des femmes du Parti démocratique Sénégalais (Pds) tenue à la permanence El Hadji Omar Lamine Badji, que le Président Macky Sall «agresse», de manière progressive, leur formation politique et Me Abdoulaye Wade, leur chef politique. Ajoutant qu’elle continue de réclamer son statut de présidente du groupe parlementaire des Libéraux et démocrates, Aïda Mbodj considère que la désignation de Modou Diagne Fada par le bureau de l’Assemblée nationale est une «forfaiture» orchestrée par le pouvoir en place.
Les femmes du Parti démocratique sénégalais (Pds) ont affiché hier, à la permanence El Hadji Omar Lamine Badji, toute leur détermination pour que Aïda Mbodj, leur camarade de parti, soit la présidente du groupe parlementaire des Libéraux et démocrates. Venues en masse, vêtues de rouge pour montrer leur désaccord suite à la décision du bureau de l’Assemblée nationale de faire de Fada le président du groupe parlementaire des libéraux et démocrates. Très en colère les femmes libérales ont traité Modou Diagne Fada de «traitre».
Selon la présidente du Conseil départemental de Bambey, cette rencontre, organisée par la présidente nationale des femmes du Pds, Woré Sarr, visait à dénoncer l’«arbitraire» et l’«injustice» dont elle estime que sa formation politique est victime au niveau de l’Assemblée nationale du Sénégal. «On n’a jamais vu un président de groupe se faire reconduire avec cinq députés, alors que le reste du groupe est là. On nous arrache notre légitimité fulmine-t-elle dans les colonnes du journal Le Quotidien. Le président de groupe est désigné, il n’est pas élu. Donc, nous avons organisé cette rencontre pour dénoncer cette forfaiture progressive que le pouvoir est en train de commettre. Le Président Macky Sall agresse le Pds. Il cherche à humilier Abdoulaye Wade, notre chef politique», s’est alarmée Mme Aïda Mbodj dans ''Le Quotidien'' qui continue de réclamer son statut de présidente du groupe parlementaire des Libéraux et démocrates.
Dans ce combat, la Libérale et ses sœurs de parti ne semblent pas près de baisser les bras. Elles renseignent qu’elles comptent aller jusqu’au bout pour le contrôle du groupe parlementaire des Libéraux et démocrates que le bureau de l’Assemblée nationale a déjà attribué à Modou Diagne Fada. «Nous, on ne laissera pas faire parce qu’on ne sera pas dans le bureau de Fada ni dans son groupe. Et je ne parle pas de lui. Aujourd’hui, mon égal, c’est Moustapha Diakhaté qui a été désigné par son chef politique. Donc, Aïda Mbodj est de la même dimension que Moustapha Diakhaté, parce qu’elle a été désignée par Abdoulaye Wade, chef du cadre de l’opposition. Nous avons la majorité avec nous. Et nous l’avons démontré», a affirmé la responsable libérale, acclamée par les femmes du Pds qui scandaient son nom.
Les femmes du Parti démocratique sénégalais (Pds) ont affiché hier, à la permanence El Hadji Omar Lamine Badji, toute leur détermination pour que Aïda Mbodj, leur camarade de parti, soit la présidente du groupe parlementaire des Libéraux et démocrates. Venues en masse, vêtues de rouge pour montrer leur désaccord suite à la décision du bureau de l’Assemblée nationale de faire de Fada le président du groupe parlementaire des libéraux et démocrates. Très en colère les femmes libérales ont traité Modou Diagne Fada de «traitre».
Selon la présidente du Conseil départemental de Bambey, cette rencontre, organisée par la présidente nationale des femmes du Pds, Woré Sarr, visait à dénoncer l’«arbitraire» et l’«injustice» dont elle estime que sa formation politique est victime au niveau de l’Assemblée nationale du Sénégal. «On n’a jamais vu un président de groupe se faire reconduire avec cinq députés, alors que le reste du groupe est là. On nous arrache notre légitimité fulmine-t-elle dans les colonnes du journal Le Quotidien. Le président de groupe est désigné, il n’est pas élu. Donc, nous avons organisé cette rencontre pour dénoncer cette forfaiture progressive que le pouvoir est en train de commettre. Le Président Macky Sall agresse le Pds. Il cherche à humilier Abdoulaye Wade, notre chef politique», s’est alarmée Mme Aïda Mbodj dans ''Le Quotidien'' qui continue de réclamer son statut de présidente du groupe parlementaire des Libéraux et démocrates.
Dans ce combat, la Libérale et ses sœurs de parti ne semblent pas près de baisser les bras. Elles renseignent qu’elles comptent aller jusqu’au bout pour le contrôle du groupe parlementaire des Libéraux et démocrates que le bureau de l’Assemblée nationale a déjà attribué à Modou Diagne Fada. «Nous, on ne laissera pas faire parce qu’on ne sera pas dans le bureau de Fada ni dans son groupe. Et je ne parle pas de lui. Aujourd’hui, mon égal, c’est Moustapha Diakhaté qui a été désigné par son chef politique. Donc, Aïda Mbodj est de la même dimension que Moustapha Diakhaté, parce qu’elle a été désignée par Abdoulaye Wade, chef du cadre de l’opposition. Nous avons la majorité avec nous. Et nous l’avons démontré», a affirmé la responsable libérale, acclamée par les femmes du Pds qui scandaient son nom.
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