Ce mardi soir, Emmanuel Macron est intervenu devant les parlementaires de la majorité réunis à la Maison de l'Amérique latine. "ce qu'il s'est passé le 1er mai a été pour moi une trahison". "S'ils cherchent un responsable, le seul responsable c'est moi et moi seul", a-t-il poursuivi. Brodant sur le même thème, il a encore noté: "Ça n'est pas la République des fusibles, la République de la haine. On ne peut pas être chef par beau temps. S'ils veulent un responsable, Il est devant vous. Qu'ils viennent le chercher. Je réponds au peuple français."
Il a tenu à préciser: "C'est moi qui ai fait confiance à Alexandre Benalla. C'est moi qui ai confirmé la sanction." Il a affirmé également la chose suivante: "Personne, personne auprès de moi ou dans mon cabinet n'a jamais été protégé ou soustrait aux règles, aux lois de la république, au droit de tous les citoyens".
Il a tenu à préciser: "C'est moi qui ai fait confiance à Alexandre Benalla. C'est moi qui ai confirmé la sanction." Il a affirmé également la chose suivante: "Personne, personne auprès de moi ou dans mon cabinet n'a jamais été protégé ou soustrait aux règles, aux lois de la république, au droit de tous les citoyens".
Avec BFMTV« Ce qui s’est passé le 1er mai a été pour moi une trahison » @EmmanuelMacron devant les parlementaires de la majorité pic.twitter.com/R6CZ1h4imy
— Bruno Fuchs (@bruno_fuchs) 24 juillet 2018
Autres articles
-
Gaza: nouveau massacre aux abords d'un point de distribution d'aide alimentaire
-
Présidentielle en Pologne: les deux candidats revendiquent la victoire
-
Royaume-Uni: plus de 1 100 migrants arrivés sur de petites embarcations samedi
-
L'armée ukrainienne dit qu'une frappe russe a tué 12 de ses soldats durant un entraînement
-
Le PSG sacré : le préfet de Paris dénonce des "bandes de pilleurs" et annonce 392 interpellation