Le Ministère en charge du Commerce à travers l’Agence Sénégalaise de Promotion des Exportations (ASEPEX) et en collaboration avec le Centre du Commerce International de Genève (ITC), l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF) et le secteur privé sénégalais, a présidé ce mardi le lancement officiel de la plateforme de e-commerce qui vise la promotion du «Made in Sénégal».
Selon Alioune Sarr, ce projet rentre dans la stratégie globale d’appuis au secteur privé défini par le Plan Sénégal Emergent (PSE). «Le projet a pour objectif, dans sa première phase, d’appuyer la compétitivité de vingt (20) petites et moyennes entreprises (PME), dont dix (10) jeunes entrepreneurs sénégalais, en les connectant aux marchés via la plateforme « Made in Sénégal », tout en leur faisant s’approprier les techniques, outils et solutions disponibles dans cette démarche», déclare le ministre en charge du Commerce.
Poursuivant Alioune Sarr de souligner que «le e-commerce, est devenu incontournable et c’est le secteur où nous avons plus de capacité ouverte pour lutter contre le chômage des jeunes. Car le e-commerce, c’est plus de 2000 milliards de dollars de PIB (Produit Intérieur brut au niveau mondial, c’est pourquoi la question de l’innovation et de la connectivité de nos entreprises est plus que nécessaire». C’est la raison pour laquelle, il a tenu à saluer cette initiative: «La mise en place des fédérateurs des acteurs du e-commerce au Sénégal».
Partenaire de l’Etat du Sénégal dans la mise en œuvre de ce programme de digitalisation, la Directrice des Divisions des marchés de l’ITC affirme que «ce projet tripartite est une innovation, dans les solutions proposées aux clients. Il permet aussi de mutualiser les vingtaines de projets existants et qui seront accompagnées sur le plan digital à ouvrir des succursales au niveau international, ce qui est une transformation structurelle de l’économie en inclusion sociale». C’est pourquoi, «nous voulons que cette initiative puisse faire tache d’huile et s’élargir à d’autres secteurs de l’économie », se réjouit l’ancienne ministre, Aicha Agne Pouye.
Ledit projet qui concerne six (6) pays d’Afrique francophone, vise, selon les propres termes du Directeur régional de l’Organisation internationale de la francophonie (Oif), Mouhamed Konaté, «également à participer à la formalisation des projets des jeunes mais aussi à résorber le taux de chômage au Sénégal et afin la promotion de l’emploi en Afrique francophone».
Selon Alioune Sarr, ce projet rentre dans la stratégie globale d’appuis au secteur privé défini par le Plan Sénégal Emergent (PSE). «Le projet a pour objectif, dans sa première phase, d’appuyer la compétitivité de vingt (20) petites et moyennes entreprises (PME), dont dix (10) jeunes entrepreneurs sénégalais, en les connectant aux marchés via la plateforme « Made in Sénégal », tout en leur faisant s’approprier les techniques, outils et solutions disponibles dans cette démarche», déclare le ministre en charge du Commerce.
Poursuivant Alioune Sarr de souligner que «le e-commerce, est devenu incontournable et c’est le secteur où nous avons plus de capacité ouverte pour lutter contre le chômage des jeunes. Car le e-commerce, c’est plus de 2000 milliards de dollars de PIB (Produit Intérieur brut au niveau mondial, c’est pourquoi la question de l’innovation et de la connectivité de nos entreprises est plus que nécessaire». C’est la raison pour laquelle, il a tenu à saluer cette initiative: «La mise en place des fédérateurs des acteurs du e-commerce au Sénégal».
Partenaire de l’Etat du Sénégal dans la mise en œuvre de ce programme de digitalisation, la Directrice des Divisions des marchés de l’ITC affirme que «ce projet tripartite est une innovation, dans les solutions proposées aux clients. Il permet aussi de mutualiser les vingtaines de projets existants et qui seront accompagnées sur le plan digital à ouvrir des succursales au niveau international, ce qui est une transformation structurelle de l’économie en inclusion sociale». C’est pourquoi, «nous voulons que cette initiative puisse faire tache d’huile et s’élargir à d’autres secteurs de l’économie », se réjouit l’ancienne ministre, Aicha Agne Pouye.
Ledit projet qui concerne six (6) pays d’Afrique francophone, vise, selon les propres termes du Directeur régional de l’Organisation internationale de la francophonie (Oif), Mouhamed Konaté, «également à participer à la formalisation des projets des jeunes mais aussi à résorber le taux de chômage au Sénégal et afin la promotion de l’emploi en Afrique francophone».
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