C’est parce que leur organisation est une résolution du dialogue national que les élections législatives seront maintenues ce dimanche, assumait le président de la République, Ibrahim Boubacar Keïta, dans son adresse à la nation mercredi soir.
Et ce malgré la pandémie de covid19. Onze cas ont été recensés, selon le dernier communiqué du ministère de la Santé. L’interdiction des rassemblements de plus de 50 personnes et le couvre-feu ont empêché les derniers meetings de se tenir. Seules quelques réunions publiques ont été organisées et des colistiers ont sillonné la ville pour convaincre les électeurs de se rendre aux urnes.
Des organisations de la société civile ou des candidats réclament cependant l’annulation de ces élections, déjà reportées à plusieurs reprises. Moussa Sinko Coulibaly et son parti la Ligue démocratique pour le changement appelle à la suspension de toutes les activités et condamne « l’attitude irresponsable du gouvernement malien ». Le principal parti d’opposition, l’URD (Union pour la république et la démocratie) a quant à lui dénoncé le kidnapping de son leader Soumaïla Cissé, arrivé second à l’élection présidentielle de 2018. Un enlèvement inédit depuis le début de la crise sécuritaire au Mali en 2012.
Et ce malgré la pandémie de covid19. Onze cas ont été recensés, selon le dernier communiqué du ministère de la Santé. L’interdiction des rassemblements de plus de 50 personnes et le couvre-feu ont empêché les derniers meetings de se tenir. Seules quelques réunions publiques ont été organisées et des colistiers ont sillonné la ville pour convaincre les électeurs de se rendre aux urnes.
Des organisations de la société civile ou des candidats réclament cependant l’annulation de ces élections, déjà reportées à plusieurs reprises. Moussa Sinko Coulibaly et son parti la Ligue démocratique pour le changement appelle à la suspension de toutes les activités et condamne « l’attitude irresponsable du gouvernement malien ». Le principal parti d’opposition, l’URD (Union pour la république et la démocratie) a quant à lui dénoncé le kidnapping de son leader Soumaïla Cissé, arrivé second à l’élection présidentielle de 2018. Un enlèvement inédit depuis le début de la crise sécuritaire au Mali en 2012.
Autres articles
-
Immunité de Donald Trump : la future décision de la Cour suprême risque de retarder le procès
-
France: l’ex-Premier ministre François Fillon définitivement coupable pour des emplois fictifs
-
Gaza: le ministère de la Santé du Hamas annonce un nouveau bilan de 34262 morts
-
RDC: scandale autour du coût de construction d'un millier de stations de traitement d'eau
-
Qualité dans l'enseignement supérieur : l'UCAD met en place le projet QADoc