La méthode d’arrestation de Badara Alou Sacko rappelle celles utilisées lors d’autres interpellations dans la capitale malienne : des hommes encagoulés s’approchent nuitamment d’une cible. Elle est tenue en joue. Quasiment jetée dans un véhicule, direction inconnue.
Très rapidement après l’enlèvement de Badara Alou Sacko, ses proches ont alerté les autorités. Pas de traces de lui dans les commissariats. Un membre du barreau malien qui s’apprête ce lundi à se constituer dans le dossier, peste : « C’est une arrestation extra-judicaire et ça suffit. ».
Sur les réseaux sociaux, Badara Alou Sacko qui portait le titre de « Président de la société civile du Mali » était l’une des rares bêtes noires du régime. Bonnet vissé sur la tête, il critiquait pêle-mêle : « les promesses non tenues par les militaires », le non-respect par exemple, de la durée de transition par les militaires ou encore les dernières taxes imposées pour renflouer les caisses de l’État. Récemment, un forum local d’organisations dans une déclaration s’est démarqué de ses prises de positions avant de réfuter son titre de « président de la société civile du Mali ».
Très rapidement après l’enlèvement de Badara Alou Sacko, ses proches ont alerté les autorités. Pas de traces de lui dans les commissariats. Un membre du barreau malien qui s’apprête ce lundi à se constituer dans le dossier, peste : « C’est une arrestation extra-judicaire et ça suffit. ».
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