Un diplomate compare la première réunion du Comité de suivi de l‘accord de paix au premier numéro d’un journal. Donc, tout n’a pas été parfait. D’après les informations de RFI, un problème de leadership a surgi au sein de certains groupes armés. Résultat : des délégations contenaient 15 membres alors qu’il n’en fallait que cinq. Des divergences ont éclaté publiquement, pas entre groupes rivaux, mais à l’intérieur même des mouvements armés.
La rencontre a malgré tout pu se tenir. On sait par exemple avec quasi-certitude que la Mission de l’ONU au Mali assurera le secrétariat du Comité. La présence algérienne à la tête du Comité de suivi fait grincer des dents en coulisses.
Par ailleurs, pour le fonctionnement de cette structure, un règlement intérieur sera – on l’espère - rapidement élaboré. Un consensus semble se dégager pour que le local du Comité de suivi de l’accord soit installé à Bamako.
Reste qu’il faut aller vite, entretenir la flamme. Pour les plus optimistes il faut encore quelques semaines pour que le Comité atteigne sa vitesse de croisière. En attendant, les quatre groupes de travail créés s’apprêtent à s’entendre sur leur mode de fonctionnement.
-
Tanzanie : 2000 personnes tuées lors des récentes violences, selon l'opposition
-
Madagascar: lancement «symbolique» de la concertation nationale, la société civile déçue
-
Mauritanie: six anciens responsables gouvernementaux inculpés pour détournements présumés de fonds publics
-
«Le Burkina Faso aujourd’hui est une vitrine», assure le capitaine Traoré qui vante son bilan sécuritaire
-
Maroc : au moins 22 morts dans l'effondrement de deux immeubles





Tanzanie : 2000 personnes tuées lors des récentes violences, selon l'opposition


