L’ancien président de la République du Sénégal, Me Abdoulaye Wade a justifié sa visite en Ouganda par sa tentative de réconcilier le président Yoweri Museveni et le président du Soudan Oumar El Bachir. Selon Me Wade, « la paix entre ces deux hommes devrait changer beaucoup de choses dans cette région de l’Afrique".
D’ailleurs, il dit que le président Museveni de l’Ouganda était prêt à serrer la main de son homologue Soudanais, El Bachir. « Cela m’a beaucoup plu », annonce t-il, mais avant de d’entamer les démarches la guerre a éclaté en Centrafrique.
Selon, l’ancien chef de l’Etat du Sénégal, son expérience ne lui permet pas de rester sans rien faire pour la Centrafrique. Ainsi, il promet d’apporter sa partition pour la médiation dans cette partie de l’Afrique. Il ajoute que s’il a été approché pour faire la médiation, « cela veut dire qu’il me connaissent. Quand je voyage en Afrique, je me dis que j’ai plus de popularité en Afrique qu’au Sénégal », informe Me Wade dans son entretien avec la Tribune.
D’ailleurs, il dit que le président Museveni de l’Ouganda était prêt à serrer la main de son homologue Soudanais, El Bachir. « Cela m’a beaucoup plu », annonce t-il, mais avant de d’entamer les démarches la guerre a éclaté en Centrafrique.
Selon, l’ancien chef de l’Etat du Sénégal, son expérience ne lui permet pas de rester sans rien faire pour la Centrafrique. Ainsi, il promet d’apporter sa partition pour la médiation dans cette partie de l’Afrique. Il ajoute que s’il a été approché pour faire la médiation, « cela veut dire qu’il me connaissent. Quand je voyage en Afrique, je me dis que j’ai plus de popularité en Afrique qu’au Sénégal », informe Me Wade dans son entretien avec la Tribune.
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