« Dans ‘’L’œil du poète et la misère’’, Meïssa Maty Ndiaye propose une poésie accessible parce que toute de simplicité dans sa conception, mais qui se fonde sur une analyse des problèmes humains, particulièrement sur ceux des déshérités dont il dépeint la misère et dénonce le rejet », peut-on lire sur la quatrième page de ce recueil de 67 qui en compte 67, publié aux éditions "Le Nègre International".
Dans un entretien qu’il a accordé à nos confrères de l’Aps, l’auteur, un enseignant à la retraite, explique que cette œuvre appelle « à l’acquittement d’un devoir d’expression solidaire à notre humanité par le principe de la solidarité recommandée par toutes les religions révélées ».
Meïssa Maty Ndiaye estime que ce recueil est, "une œuvre qui refuse l’exclusion, la discrimination, le mépris ou le rejet de l’être humain qui est la première et la meilleure de Dieu qui fait de lui un capital de valeur inestimable".
Poursuivant, il a également précisé que les textes composant son recueil ont été inspirés par ses déplacements à travers le monde et différentes capitales africaines en particulier, déplacements au cours desquels la vigilance de son œil a pu saisir "la misère étalée à travers les rues" peuplées d’êtres humains qui "n’ont besoin que de vivre, de plus de chaleur et de protection".
Pour rappel, Meïssa Maty Ndiaye qui a été lauréat du concours national de poésie (FESNAC 1999), avait déjà publié, à partir de 2002, un triptyque poétique aux couleurs nationales, dont le dernier, "Lumières jaunes", date de 2013. Il avait sorti quelques années auparavant "Lumières rouges" (2006) et "Lumières vertes" (2002). Cette dernière publication a été rééditée en 2004.
Dans un entretien qu’il a accordé à nos confrères de l’Aps, l’auteur, un enseignant à la retraite, explique que cette œuvre appelle « à l’acquittement d’un devoir d’expression solidaire à notre humanité par le principe de la solidarité recommandée par toutes les religions révélées ».
Meïssa Maty Ndiaye estime que ce recueil est, "une œuvre qui refuse l’exclusion, la discrimination, le mépris ou le rejet de l’être humain qui est la première et la meilleure de Dieu qui fait de lui un capital de valeur inestimable".
Poursuivant, il a également précisé que les textes composant son recueil ont été inspirés par ses déplacements à travers le monde et différentes capitales africaines en particulier, déplacements au cours desquels la vigilance de son œil a pu saisir "la misère étalée à travers les rues" peuplées d’êtres humains qui "n’ont besoin que de vivre, de plus de chaleur et de protection".
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