«Des membres du Conseil municipal de la commune des HLM, réunis en collectif, ont fait paraître un mémorandum dans lequel ils ont évoqué les travaux de pavage sur l’avenue Cheikh Ahmadou Bamba», a d’emblée rappelé le document signé des conseillers municipaux qui portaient la réplique aux détracteurs de l’édile de ladite commune.
Mais, rétorquent les partisans du maire Babacar Seck, l’anarchie qui régnait au marché des HLM occasionnant des tonnes d’ordures à ramasser aux frais de la mairie après les fêtes de Tabaski et de Korité obligeaient les autorités locales à trouver des solutions idoines.
C’est d’ailleurs ce qui a motivé le programme mis en place par la commune, au mois de novembre 2015 pour le nettoiement, le désensablement et le déguerpissement des installations anarchiques dans l’espace communal. Mais aussi, le recrutement d’agents de sécurité devant garder cet espace et ce, «pendant plus d’un an et demi».
Revenant sur les 57 millions FCFA annoncés dans le mémorandum comme le gain tiré de l’occupation pendant les fêtes précitées, les conseillers municipaux démentent et renvoient les détracteurs du maire au niveau de la Recette perception municipal de Dakar Bourguiba où le constat pourra être fait qu’en lieu et place de cette somme indiquée, ils trouveront qu’en 2012, cette occupation n’a généré que 20 à 27 millions FCFA.
Quant aux irrégularités indexées dans la convention liant la mairie et les Ets Dame Ka, les proches de l’édile des HLM bottent en touche et expliquent que le 07 Aout 2017 le conseil municipal de la commune a été convoqué en session ordinaire avec, dans l’ordre du jour, en 2eme position, l’examen et l’adoption de la délibération portant autorisation de signer une convention entre la Commune des HLM et les Ets Dame Ka.
Selon eux, les membres de la commission concernée ont donné un avis favorable à cette convention le 8 aout et, 37 conseillers municipaux en ont fait autant le 10 aout, lors de la plénière, contre 7 conseillers qui ont voté contre et 1 abstention.
Et de rappeler les termes de ladite convention qui portent «sur la fourniture et la pose de pavés sur l’avenue Cheikh Ahmadou Bamba, sur deux grandes mosquées et sur l’église pour une surface de 5 922 m2». Quant à la contrepartie, elle concerne «la réalisation de l’ouvrage est l’autorisation donnée par la mairie a l’Ets Dame Ka à organiser 06 foires consécutives pendant les événements de la Korité et de la Tabaski ce qui va permettre à l’institution municipale de donner des emplois a plus de 100 jeunes des hlm dans la sécurité la production et la pose de pavées, la mise en place de parkings payants gérés par 25 jeunes des HLM, l’enlèvement et l’évacuation de tonnes d’ordures au lendemain des fêtes religieuses et l’amélioration du cadre de vie».
Sur l’absence d’appel d’offre dénoncée, ces conseillers rappellent qu’«on ne peut parler d’appel d’offre dès lors que le budget de la commune n’est pas mise à contribution pour le financement d’un tel projet».
Et de conclure : «Eu égard aux moyens limites des collectivités locales, l’article 14 du Code Général des Collectivités Locales confère à celles-ci l’opportunité de passer des conventions de partenariat public privé qui font l’objet d’un contrôle de légalité exercé par les représentants de l’Etat ».
Mais, rétorquent les partisans du maire Babacar Seck, l’anarchie qui régnait au marché des HLM occasionnant des tonnes d’ordures à ramasser aux frais de la mairie après les fêtes de Tabaski et de Korité obligeaient les autorités locales à trouver des solutions idoines.
C’est d’ailleurs ce qui a motivé le programme mis en place par la commune, au mois de novembre 2015 pour le nettoiement, le désensablement et le déguerpissement des installations anarchiques dans l’espace communal. Mais aussi, le recrutement d’agents de sécurité devant garder cet espace et ce, «pendant plus d’un an et demi».
Revenant sur les 57 millions FCFA annoncés dans le mémorandum comme le gain tiré de l’occupation pendant les fêtes précitées, les conseillers municipaux démentent et renvoient les détracteurs du maire au niveau de la Recette perception municipal de Dakar Bourguiba où le constat pourra être fait qu’en lieu et place de cette somme indiquée, ils trouveront qu’en 2012, cette occupation n’a généré que 20 à 27 millions FCFA.
Quant aux irrégularités indexées dans la convention liant la mairie et les Ets Dame Ka, les proches de l’édile des HLM bottent en touche et expliquent que le 07 Aout 2017 le conseil municipal de la commune a été convoqué en session ordinaire avec, dans l’ordre du jour, en 2eme position, l’examen et l’adoption de la délibération portant autorisation de signer une convention entre la Commune des HLM et les Ets Dame Ka.
Selon eux, les membres de la commission concernée ont donné un avis favorable à cette convention le 8 aout et, 37 conseillers municipaux en ont fait autant le 10 aout, lors de la plénière, contre 7 conseillers qui ont voté contre et 1 abstention.
Et de rappeler les termes de ladite convention qui portent «sur la fourniture et la pose de pavés sur l’avenue Cheikh Ahmadou Bamba, sur deux grandes mosquées et sur l’église pour une surface de 5 922 m2». Quant à la contrepartie, elle concerne «la réalisation de l’ouvrage est l’autorisation donnée par la mairie a l’Ets Dame Ka à organiser 06 foires consécutives pendant les événements de la Korité et de la Tabaski ce qui va permettre à l’institution municipale de donner des emplois a plus de 100 jeunes des hlm dans la sécurité la production et la pose de pavées, la mise en place de parkings payants gérés par 25 jeunes des HLM, l’enlèvement et l’évacuation de tonnes d’ordures au lendemain des fêtes religieuses et l’amélioration du cadre de vie».
Sur l’absence d’appel d’offre dénoncée, ces conseillers rappellent qu’«on ne peut parler d’appel d’offre dès lors que le budget de la commune n’est pas mise à contribution pour le financement d’un tel projet».
Et de conclure : «Eu égard aux moyens limites des collectivités locales, l’article 14 du Code Général des Collectivités Locales confère à celles-ci l’opportunité de passer des conventions de partenariat public privé qui font l’objet d’un contrôle de légalité exercé par les représentants de l’Etat ».
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