«Vous savez, lorsqu’on a dirigé deux fois le ministère de l’Intérieur et qu’on y a passé sept ans, qu’on a tissé des liens avec les services de sécurité des grands pays, on ne peut pas être au même niveau d’information que le commun des mortels ». Ces propos sont de l’ancien ministre de l’Intérieur, Me Ousmane Ngom qui s’entretenait avec nos confrères de l’Observateur sur ses propos tenus à la veille du référendum pour avertir de la présence de réseau terroriste au Sénégal.
Le tollé soulevé par cette sortie fracassante n’inquiète pas Me Ousmane Ngom. De l’avis de ce dernier, il n’a fait que ce qu’il devait faire au vu de la situation dans laquelle se trouvait le Sénégal au moment où il avait tenu ces propos : «Lorsque surviennent des moments critiques où tout peut basculer, on a le devoir d’alerter. C’est ce que j’ai fait le vendredi 18 mars et ce qui s’est passé ici à Dakar le dimanche en début d’après-midi et les appels qu’on a entendu, les connivences qui se sont manifestées, me confortent dans cette prise de position, qui a enrayé une dérive rampante», déclare-t-il.
Néanmoins, Me Ngom affirme que la menace n’est pas totalement écartée et prévient : «Cela ne veut pas dire que la menace est écartée. Au contraire, il faut être plus vigilant que jamais car l’hydre a plusieurs têtes et de multiple connexions».
Ousmane Ngom qui préfère «s’en arrêter là» pour le moment, «attend de pied ferme ceux qui envisageraient de saisir le Procureur contre moi».
Le tollé soulevé par cette sortie fracassante n’inquiète pas Me Ousmane Ngom. De l’avis de ce dernier, il n’a fait que ce qu’il devait faire au vu de la situation dans laquelle se trouvait le Sénégal au moment où il avait tenu ces propos : «Lorsque surviennent des moments critiques où tout peut basculer, on a le devoir d’alerter. C’est ce que j’ai fait le vendredi 18 mars et ce qui s’est passé ici à Dakar le dimanche en début d’après-midi et les appels qu’on a entendu, les connivences qui se sont manifestées, me confortent dans cette prise de position, qui a enrayé une dérive rampante», déclare-t-il.
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