L’Alliance démocratique/Pencoo de Moussa Tine est furieuse de la date retenue par le chef de l’Etat pour la tenue des élections législatives.
Dans un communiqué parvenu à la rédaction de pressafrik.com, le parti de Moussa Tine dénonce une violation des textes électorales. « La décision du président de la république de tenir les élections législatives le 02 juillet 2017 est manifestement une violation flagrante de la loi électorale notamment en ses articles L.149 et LO.150 qui fixent l’échéance des pouvoirs de l’assemblée (au plus tard le 30 juin de la cinquième année qui suit son élection) et la date ou période d’organisation de l’élection de la prochaine assemblée qui doit impérativement intervenir entre les soixante (60) jours et les vingt (20) jours qui précédent l’expiration des pouvoirs de l’Assemblée Nationale », note le communiqué.
l'AD/Pencoo enfonce le clou « Une analyse fine et combinée de ces articles oblige le gouvernement à organiser les prochaines électives législatives entre le 28 mai et le 10 juin 2017. Nous rappelons d’ailleurs qu’aucun compromis ou pacte ne peut être noué sur le dos de la loi ».
Par conséquent « le Secrétariat Exécutif de l’AD/PENCOO suggère au président Macky Sall de retenir la date du 28 Mai 2017 qui offre le double avantage de respecter la loi et de ne pas polluer le mois béni du ramadan par une campagne ou une période électorale astringente ».
Sous un autre registre, le Secrétariat Exécutif de l’AD/PENCOO demande à tous ses militants et sympathisants de se doter des outils administratifs nécessaires afin de participer à l’élection législative de 2017 et garantir une représentation massive du parti à l’assemblée nationale.
Poursuivant « le Secrétariat Exécutif de l’AD/PENCOO incite tous ses responsables à la mobilisation et à la prise d’initiatives pour élargir les bases du parti, mettre en place des dynamiques fortes et offrir, aux sénégalais, une nouvelle majorité politique à l’issu de l’élection législative ».
Dans un communiqué parvenu à la rédaction de pressafrik.com, le parti de Moussa Tine dénonce une violation des textes électorales. « La décision du président de la république de tenir les élections législatives le 02 juillet 2017 est manifestement une violation flagrante de la loi électorale notamment en ses articles L.149 et LO.150 qui fixent l’échéance des pouvoirs de l’assemblée (au plus tard le 30 juin de la cinquième année qui suit son élection) et la date ou période d’organisation de l’élection de la prochaine assemblée qui doit impérativement intervenir entre les soixante (60) jours et les vingt (20) jours qui précédent l’expiration des pouvoirs de l’Assemblée Nationale », note le communiqué.
l'AD/Pencoo enfonce le clou « Une analyse fine et combinée de ces articles oblige le gouvernement à organiser les prochaines électives législatives entre le 28 mai et le 10 juin 2017. Nous rappelons d’ailleurs qu’aucun compromis ou pacte ne peut être noué sur le dos de la loi ».
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