«Karim Wade vient encore de montrer cruellement qu’il n’a aucune considération pour notre pays. Les tentatives d’internationalisation d’une affaire qui a l’autorité de la chose jugée, d’une implication d’une justice étrangère dans les turpitudes d’un citoyens sénégalais sont irresponsables et scandaleuses ». Dixit Moustapha Diakhaté commentant la décision de Karim Wade de saisir la justice française pour statuer sur sa détention qu’il juge arbitraire.
Mais cette décision, contrairement à ce que dit Karim Wade, est selon le président du groupe parlementaire Benno bokk yaakaar, une façon de vouloir discréditer la justice du Sénégal : «les confusions et les puériles manipulations médiatico-politiciennes ne peuvent pas se substituer aux tribunaux de notre pays. C’est devant la justice de notre pays que se traitent les affaires de notre pays», a-t-il martelé.
De l’avis du chef de la majorité parlementaire, le fils de Me Wade ne peut s’en prendre qu’à lui-même s’il se trouve dans cette situation, car il a «sans cesse confondu ses intérêts personnels et ceux de son clan familial avec les affaires de l’Etat».
Et s’il y a quelqu’un à blâmer, ce doit être l’ancien ministre de la Coopération internationale, étant donné que «c’est lui qui est visé par des enquêtes et qui doit répondre de ses actes et non le président de la République».
Mais cette décision, contrairement à ce que dit Karim Wade, est selon le président du groupe parlementaire Benno bokk yaakaar, une façon de vouloir discréditer la justice du Sénégal : «les confusions et les puériles manipulations médiatico-politiciennes ne peuvent pas se substituer aux tribunaux de notre pays. C’est devant la justice de notre pays que se traitent les affaires de notre pays», a-t-il martelé.
De l’avis du chef de la majorité parlementaire, le fils de Me Wade ne peut s’en prendre qu’à lui-même s’il se trouve dans cette situation, car il a «sans cesse confondu ses intérêts personnels et ceux de son clan familial avec les affaires de l’Etat».
Et s’il y a quelqu’un à blâmer, ce doit être l’ancien ministre de la Coopération internationale, étant donné que «c’est lui qui est visé par des enquêtes et qui doit répondre de ses actes et non le président de la République».
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