L’annonce a suscité la colère parmi les centaines de milliers de jeunes conducteurs d’okada et de kéké, le nom communément donné à ces véhicules à Lagos, ville de 20 millions d’habitants qui connait un manque criant de transports en commun.
A la gare de kékés, Adeola-Odeku, dans le quartier huppé de Victoria Island, une quinzaine de chauffeurs se sont regroupés pour discuter de la nouvelle réglementation. Dans quelques heures, ils vont perdre leur première source de revenus. Jakob Mus oscille entre incompréhension et colère.
« C’est tellement triste d’apprendre cette nouvelle ! s’indigne-t-il. Moi, je travaille comme chauffeur de keke parce que je suis étudiant à l’Université ouverte nationale, ici à Lagos. J’ai besoin de ce business pour payer mes études et faire vivre ma famille. Donc, s’ils interdisent les keke, je ne sais pas du tout ce que je vais faire. »
A la gare de kékés, Adeola-Odeku, dans le quartier huppé de Victoria Island, une quinzaine de chauffeurs se sont regroupés pour discuter de la nouvelle réglementation. Dans quelques heures, ils vont perdre leur première source de revenus. Jakob Mus oscille entre incompréhension et colère.
« C’est tellement triste d’apprendre cette nouvelle ! s’indigne-t-il. Moi, je travaille comme chauffeur de keke parce que je suis étudiant à l’Université ouverte nationale, ici à Lagos. J’ai besoin de ce business pour payer mes études et faire vivre ma famille. Donc, s’ils interdisent les keke, je ne sais pas du tout ce que je vais faire. »
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