Le président Barack Obama veut « vraiment, vraiment, vraiment » faire élire Hillary Clinton, le 8 novembre. Il l’a répété devant les sympathisants démocrates venus l’écouter à Philadelphie (Pennsylvanie), mardi 13 septembre. La solidarité partisane n’est pas seule en cause. Le président américain sait bien qu’une bonne partie de son legs politique disparaîtrait avec l’arrivée à la Maison Blanche d’un républicain. L’adversaire de Mme Clinton, Donald Trump, incarne enfin tout ce qui peut révulser M. Obama.
Le président veut donc appuyer une candidate démocrate en difficulté après un accident de santé. Cette dernière devait relancer sa campagne, en Caroline du Nord, jeudi, après trois jours de repos et après avoir rendu public un second bulletin de santé depuis juillet 2015, mercredi.
A Philadelphie, M. Obama s’est montré tour à tour enjoué et alarmiste. Il a raconté, gestes à l’appui, qu’en 2008, lors de la primaire qui l’avait opposé à Mme Clinton, chaque fois qu’il pensait l’avoir emporté et être arrivé « en haut des marches de Rocky » – en référence à la scène célèbre du film qui voit le héros lever les bras en signe de triomphe devant le Musée d’art de la ville –, Mme Clinton était derrière lui, « car elle n’abandonne pas ». Plus tard, à l’occasion d’une levée de fonds, M. Obama a avoué que la course était « serrée », « alors qu’elle ne devrait pas l’être ».
Le président veut donc appuyer une candidate démocrate en difficulté après un accident de santé. Cette dernière devait relancer sa campagne, en Caroline du Nord, jeudi, après trois jours de repos et après avoir rendu public un second bulletin de santé depuis juillet 2015, mercredi.
A Philadelphie, M. Obama s’est montré tour à tour enjoué et alarmiste. Il a raconté, gestes à l’appui, qu’en 2008, lors de la primaire qui l’avait opposé à Mme Clinton, chaque fois qu’il pensait l’avoir emporté et être arrivé « en haut des marches de Rocky » – en référence à la scène célèbre du film qui voit le héros lever les bras en signe de triomphe devant le Musée d’art de la ville –, Mme Clinton était derrière lui, « car elle n’abandonne pas ». Plus tard, à l’occasion d’une levée de fonds, M. Obama a avoué que la course était « serrée », « alors qu’elle ne devrait pas l’être ».
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