« Nous revendiquons un Etat islamique. Nous menons une guerre sainte, au nom de l’Islam. Nous ne faisons pas de différence entre les races : noirs ou blancs », martèle le chef de fil du Mujao au Mali.
Pour l’application de la charia, « on n’a pas besoin de progresser vers le Sud, on se contente de pratiquer la charia au Nord et de montrer le bon exemple aux Sudistes », précise le chef d’Etat-major du Mujao.
En ce qui concerne la situation économique au nord du Mali, Oumar Ould Hamaha informe : « Quatre mois après, la situation s’améliore, de jour en jour. Il y’a la sécurité, la solidarité, entre les gens. Chaque jour, à Gao, il y a plus de 30 à 40 camions de produits qui viennent du Niger, de la Mauritanie, de l’Algérie. Les produits sont moins chers. Le vrai problème était les douaniers qui vivent, en général, sur le dos des populations. Aujourd’hui, il n’y a ni gendarmes, ni policiers, pour prendre les biens des gens. Le peuple va vivre de lui-même, que ça soit les commerçants, les éleveurs ou toutes les couches sociales ».
Pour l’application de la charia, « on n’a pas besoin de progresser vers le Sud, on se contente de pratiquer la charia au Nord et de montrer le bon exemple aux Sudistes », précise le chef d’Etat-major du Mujao.
En ce qui concerne la situation économique au nord du Mali, Oumar Ould Hamaha informe : « Quatre mois après, la situation s’améliore, de jour en jour. Il y’a la sécurité, la solidarité, entre les gens. Chaque jour, à Gao, il y a plus de 30 à 40 camions de produits qui viennent du Niger, de la Mauritanie, de l’Algérie. Les produits sont moins chers. Le vrai problème était les douaniers qui vivent, en général, sur le dos des populations. Aujourd’hui, il n’y a ni gendarmes, ni policiers, pour prendre les biens des gens. Le peuple va vivre de lui-même, que ça soit les commerçants, les éleveurs ou toutes les couches sociales ».
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