Karim Meïssa Wade s’est acquitté de l’étape du dépôt de ses dossiers au niveau du Conseil Constitutionnel. En effet, par l’entremise de Mamadou Diop Decroix et Oumar Sarr, la liste des 66 820 parrains a été mise à la disposition des sept (7) sages, cependant, des zones d’ombres subsistent dans la tête de ses mandataires. Cette stature suscite à leurs eux un mauvais pressentiment d’autant plus que, selon eux, le désir de leur adversaire, Macky Sall, c’est d’empêcher au fils de Me Wade de se présenter.
«Nos données sont à l’intérieur (du Conseil Constitutionnel) sans aucune sécurisation. On les a posés là-bas», a-t-il indiqué tout en relevant que les 7 Sages pouvaient en disposer comme bon leur semblait sans que lui et ses camardes ne puissent vérifier sur quelle base ils vont donner leur avis sur l’acceptabilité ou non de leurs dossiers.
«Nous avons déposé le dossier de candidature de Karim Meïssa Wade. Dans ce dossier il y a plusieurs éléments dont des papiers qui sont des papiers officiels. Il y a aussi des caisses de parrainages que nous avons déposées», a déclaré le Coordonnateur national du Pds, après son entrevue avec les membres du Conseil Constitutionnel lundi, au niveau de leur siège.
«Mais, ajoute M. Sarr, nous avons bon espoir, mais nous n’avons aucune illusion. Nous avons déposé tous les documents nécessaires, c’est ça le plus important».
A l’en croire, rien ne s’oppose à la validation de la candidature de leur porte-drapeau puisque l’aspect le plus évoqué et qui concerne le casier judiciaire, n’a aucune répercussion sur la suite des événements d’autant plus que la loi sénégalaise n’exige que celui-ci soit vierge. S’y ajoute que, Wade-fils garde toujours ses droits civiques et politiques.
Sur le débat des conditions pour être candidat à la présidentiel, le maire de Dagana réitère qu’il n’a nullement été spécifié dans la Constitution sénégalaise qu’il fallait être inscrit dans le fichier électoral pour pouvoir briguer la magistrature suprême. Donc, résume-t-il, malgré le fait que Karim Wade ne dispose pas d’une carte d’électeur, sa seule carte d’identité et les dossiers démontrant qu’il est sénégalais, suffisent pour valider leur dépôt.
«Nos données sont à l’intérieur (du Conseil Constitutionnel) sans aucune sécurisation. On les a posés là-bas», a-t-il indiqué tout en relevant que les 7 Sages pouvaient en disposer comme bon leur semblait sans que lui et ses camardes ne puissent vérifier sur quelle base ils vont donner leur avis sur l’acceptabilité ou non de leurs dossiers.
«Nous avons déposé le dossier de candidature de Karim Meïssa Wade. Dans ce dossier il y a plusieurs éléments dont des papiers qui sont des papiers officiels. Il y a aussi des caisses de parrainages que nous avons déposées», a déclaré le Coordonnateur national du Pds, après son entrevue avec les membres du Conseil Constitutionnel lundi, au niveau de leur siège.
«Mais, ajoute M. Sarr, nous avons bon espoir, mais nous n’avons aucune illusion. Nous avons déposé tous les documents nécessaires, c’est ça le plus important».
A l’en croire, rien ne s’oppose à la validation de la candidature de leur porte-drapeau puisque l’aspect le plus évoqué et qui concerne le casier judiciaire, n’a aucune répercussion sur la suite des événements d’autant plus que la loi sénégalaise n’exige que celui-ci soit vierge. S’y ajoute que, Wade-fils garde toujours ses droits civiques et politiques.
Sur le débat des conditions pour être candidat à la présidentiel, le maire de Dagana réitère qu’il n’a nullement été spécifié dans la Constitution sénégalaise qu’il fallait être inscrit dans le fichier électoral pour pouvoir briguer la magistrature suprême. Donc, résume-t-il, malgré le fait que Karim Wade ne dispose pas d’une carte d’électeur, sa seule carte d’identité et les dossiers démontrant qu’il est sénégalais, suffisent pour valider leur dépôt.
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