«C’est la première fois qu’un préfet porte plainte parce qu’on a mal utilisé son arrêté», a d’emblée déclaré Oumar Sarr, le secrétaire général national du Pds lors de sa sortie des locaux de la Sureté urbaine où il était convoqué.
Le responsable libéral, revigoré, s’est montré plus que jamais déterminé et a déclaré être prêt à rééditer son acte si l’occasion se présentait à nouveau : «On veut me mettre en prison simplement parce que je n’ai pas utilisé comme il l’a voulu son arrêté. Si c’était à refaire encore, je le déchirerais parce que notre constitution est la loi fondamentale et elle passe au-dessus de tout», soutient-t-il.
Par son acte, le maire de Dagana dit avoir voulu user de pédagogie pour montrer l’importance qu’on doit accorder à la Constitution : «Il faut que les populations comprennent que la Constitution, qui est une loi fondamentale, il faut la défendre et donc qu’ils n’ont pas le droit d’interdire nos manifestations. Il faut que les populations sachent qu’il faut continuer à lutter contre cette dictature rampante», a-t-il clamé.
Le parlementaire est d’avis que les autorités étaient conscientes qu’on ne pouvait pas l’arrêter vu son statut de député et, «même s’il n’y avait pas cette difficulté, on ne peut pas arrêter quelqu’un parce qu’il a déchiré une lettre qu’on lui a adressé», a-t-il conclu.
Le responsable libéral, revigoré, s’est montré plus que jamais déterminé et a déclaré être prêt à rééditer son acte si l’occasion se présentait à nouveau : «On veut me mettre en prison simplement parce que je n’ai pas utilisé comme il l’a voulu son arrêté. Si c’était à refaire encore, je le déchirerais parce que notre constitution est la loi fondamentale et elle passe au-dessus de tout», soutient-t-il.
Par son acte, le maire de Dagana dit avoir voulu user de pédagogie pour montrer l’importance qu’on doit accorder à la Constitution : «Il faut que les populations comprennent que la Constitution, qui est une loi fondamentale, il faut la défendre et donc qu’ils n’ont pas le droit d’interdire nos manifestations. Il faut que les populations sachent qu’il faut continuer à lutter contre cette dictature rampante», a-t-il clamé.
Le parlementaire est d’avis que les autorités étaient conscientes qu’on ne pouvait pas l’arrêter vu son statut de député et, «même s’il n’y avait pas cette difficulté, on ne peut pas arrêter quelqu’un parce qu’il a déchiré une lettre qu’on lui a adressé», a-t-il conclu.
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