Pour rappeler au gouvernement les termes de cet accord, la CNTS/FC a organisé une conférence de presse jeudi 25 septembre 2025. Le secrétaire général a martelé : « Nous avons signé un pacte depuis le 1er mai. Et ce pacte devait donner de l’espoir aux travailleurs, aux signataires et au monde du travail sur le déroulement du pacte mais depuis lors rien n’a été respecté. C’est pourquoi nous avons organisé cette conférence de presse pour nous faire entendre et aussi dérouler un plan d’action pour revendiquer nos droits ».
Ce plan d’action comprend une marche, une campagne de sensibilisation sur l’ensemble du territoire et le dépôt d’un préavis de grève. Interrogé sur la position des syndicalistes qui s’opposent au pacte, Cheikh Diop a tenu à clarifier un point important : « Pour rappel, ce pacte ne prive aucun travailleur ni de son droit de grève, ni de son droit de revendication, ni de son droit de manifester. Ce pacte est une entente. C’est un principe et une forme de dialogue social qui nous permet d’éviter un accrochage avec les autorités ».
Il a également apporté des éclaircissements sur la nature continue des revendications : « La source de la revendication est inépuisable, c’est pourquoi quel que soit l’état de la revendication, ça ne devrait pas nous empêcher de signer un pacte. Quand on signait le pacte, on avait pris nos précautions parce que cette fois-ci on a mis en place une autre forme de stratégie que celle qu’on avait l’habitude d’utiliser ».
Concernant l’accompagnement des travailleurs ayant subi des licenciements abusifs, le secrétaire général a assuré que son organisation examinerait chaque cas : si les licenciements sont jugés abusifs, la CNTS/FC œuvrera à la réintégration des concernés.
Ce plan d’action comprend une marche, une campagne de sensibilisation sur l’ensemble du territoire et le dépôt d’un préavis de grève. Interrogé sur la position des syndicalistes qui s’opposent au pacte, Cheikh Diop a tenu à clarifier un point important : « Pour rappel, ce pacte ne prive aucun travailleur ni de son droit de grève, ni de son droit de revendication, ni de son droit de manifester. Ce pacte est une entente. C’est un principe et une forme de dialogue social qui nous permet d’éviter un accrochage avec les autorités ».
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