Youssou Sakho, DG de l'ARMP
Le montant total des dépenses annuelles faites dans le cadre des marchés publics est passé de 700 milliards de francs CFA avant la réforme de ces marchés à 450 milliards de francs CFA en 2009, a indiqué le directeur général de l’Autorité de régulation des marchés publics, Youssouf Sakho.
Ces propos ont été repris par l’Aps qui ajoute, toujours selon le Directeur général de l’ARMP que le taux des marchés passés par entente directe est passé de 65% en 2006 à 8% en 2009 grâce à la rigueur du contrôle à priori exercé par la direction du contrôle des marchés publics.
Cette réussite donne crédit à la structure qui fait le bonheur de ses clients. «Les candidats aux marchés publics manifestent une confiance accrue à l’organe de régulation dont les décisions, même si elles sont parfois douloureuses, sont généralement bien acceptées voire appréciées par l’ensemble des acteurs de la commande publique», a noté le DG de l’ARMP qui cite, à titre d’exemple que «le nombre de recours introduits auprès du Comité du règlement des différends a augmenté de 48% entre 2008 et 2009».
.
Ces propos ont été repris par l’Aps qui ajoute, toujours selon le Directeur général de l’ARMP que le taux des marchés passés par entente directe est passé de 65% en 2006 à 8% en 2009 grâce à la rigueur du contrôle à priori exercé par la direction du contrôle des marchés publics.
Cette réussite donne crédit à la structure qui fait le bonheur de ses clients. «Les candidats aux marchés publics manifestent une confiance accrue à l’organe de régulation dont les décisions, même si elles sont parfois douloureuses, sont généralement bien acceptées voire appréciées par l’ensemble des acteurs de la commande publique», a noté le DG de l’ARMP qui cite, à titre d’exemple que «le nombre de recours introduits auprès du Comité du règlement des différends a augmenté de 48% entre 2008 et 2009».
.
Autres articles
-
Critiques sur les nouvelles réformes : l’Amicale des Inspecteurs et Officiers des Douanes prend la défense des cadres et de l’Administration
-
Souveraineté alimentaire : « On ne peut atteindre l’autosuffisance alimentaire sans développer et investir davantage dans le secteur agricole » (Abdourahmane Ndiaye)
-
Sénègal : le secteur minier confronté à l'insuffisance des ressources financières allouées à son administration
-
Défis et incohérences dans la gestion minière sénégalaise : les recommandations de la Cour des comptes
-
Microfinance : le ministre Alioune Dione promet de rationaliser les ressources