El Hadji Diouf comparaîtra le 5 décembre 2025 devant le Tribunal d'instance hors classe de Dakar, dans une affaire de pension alimentaire initiée par son ex-épouse, Valérie Bishop. Lors d'une précédente audience tenue le 4 octobre, l'affaire n'avait pas pu être examinée en raison de l'absence de l'ancien footballeur.
Valérie Bishop accuse formellement El Hadji Diouf d’abandon de famille et de refus de paiement de pension alimentaire. Selon la plaignante, ce dernier n’a pas honoré ses obligations financières entre mars 2024 et septembre 2025, accumulant ainsi 9 millions de FCFA d’arriérés. S’y ajoute une dette de 559 200 FCFA, correspondant à des repas pris dans un restaurant entre janvier 2023 et mai 2025, rapporte L'Observateur.
Les avocats de la partie civile dénoncent des « dettes délibérées » et estiment qu’El Hadji Diouf « a les moyens de payer mais refuse de le faire ». Valérie Bishop réclame réparation pour le préjudice subi par sa fille mineure et demande l’application de l’article 351 du Code pénal, prévoyant des sanctions sévères, pouvant inclure l’emprisonnement, ainsi que des peines complémentaires en vertu de l’article 34 du même code.
Cette procédure s’inscrit dans le sillage d’un divorce prononcé le 12 juillet 2023, où le tribunal avait reconnu la responsabilité entière d’El Hadji Diouf dans la rupture, fondée sur des « injures » envers son épouse. La garde de l’enfant avait été confiée à la mère, avec un droit de visite étendu accordé au père. Une pension alimentaire de 500 000 FCFA par mois, ainsi que la prise en charge des frais médicaux, pharmaceutiques et scolaires, avait été fixée à la charge de l’ancien sportif.
Si El Hadji Diouf ne comparaît pas le 5 décembre, il s’expose à des conséquences judiciaires graves, conformément aux dispositions légales invoquées.
Valérie Bishop accuse formellement El Hadji Diouf d’abandon de famille et de refus de paiement de pension alimentaire. Selon la plaignante, ce dernier n’a pas honoré ses obligations financières entre mars 2024 et septembre 2025, accumulant ainsi 9 millions de FCFA d’arriérés. S’y ajoute une dette de 559 200 FCFA, correspondant à des repas pris dans un restaurant entre janvier 2023 et mai 2025, rapporte L'Observateur.
Les avocats de la partie civile dénoncent des « dettes délibérées » et estiment qu’El Hadji Diouf « a les moyens de payer mais refuse de le faire ». Valérie Bishop réclame réparation pour le préjudice subi par sa fille mineure et demande l’application de l’article 351 du Code pénal, prévoyant des sanctions sévères, pouvant inclure l’emprisonnement, ainsi que des peines complémentaires en vertu de l’article 34 du même code.
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