Les populations ne sont pas au bout de leurs peines. Elles devront prendre leur mal en patience. La pénurie d’eau de mise dans la capitale sénégalaise depuis la mi-septembre est loin d’être finie. Le porte parole du gouvernement qui en parlait hier en marge de la 2ème session ordinaire du Conseil Economique Social et Environnemental (CESE) lâche.
« Il faut que les gens réfléchissent un peu parce que si c’était aussi facile que cela, le problème serait vite réglé. Personne n’a intérêt à fortiori les politiques à ce qu’on laisse les populations souffrir », affirme Abdou Latif Coulibaly qui invite les sénégalais à se suffire de la compassion exprimée par la cheffe du gouvernement, Aminata Touré et le ministre de l’Hydraulique, Pape Diouf.
« Le plus important dans la vie quand une personne vit des difficultés, c’est de lui exprimer toute sa compassion. C’est plus fort que celui qui doit régler le problème. On ne fait pas que parler parce que le ministre de l’Hydraulique est parti à Keur Momar Sarr et le premier ministre aussi. Ils ont exprimé toute leur compassion par rapport à ce que vivent les Dakarois » martèle le ministre de la bonne gouvernance qui finit par reconnaître l’impuissance du pouvoir a trouvé une solution immédiate au manque d’eau.
« Quand on arrive à une situation où c’est un accident, on ne peut pas le régler tout de suite. C’est cela la réalité. Il n’y a pas de tromperie. Les techniciens qui sont à l’oeuvre dans leur prévision souhaiteraient réparer la panne à date échue mais il se trouve qu’ils sont confrontés à un travail très difficile… ».
« Il faut que les gens réfléchissent un peu parce que si c’était aussi facile que cela, le problème serait vite réglé. Personne n’a intérêt à fortiori les politiques à ce qu’on laisse les populations souffrir », affirme Abdou Latif Coulibaly qui invite les sénégalais à se suffire de la compassion exprimée par la cheffe du gouvernement, Aminata Touré et le ministre de l’Hydraulique, Pape Diouf.
« Le plus important dans la vie quand une personne vit des difficultés, c’est de lui exprimer toute sa compassion. C’est plus fort que celui qui doit régler le problème. On ne fait pas que parler parce que le ministre de l’Hydraulique est parti à Keur Momar Sarr et le premier ministre aussi. Ils ont exprimé toute leur compassion par rapport à ce que vivent les Dakarois » martèle le ministre de la bonne gouvernance qui finit par reconnaître l’impuissance du pouvoir a trouvé une solution immédiate au manque d’eau.
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