« Aujourd’hui, au regard des incertitudes qui pèsent sur l’organisation des élections et des tensions qui en découlent, nous risquons d’assister à un lourd contentieux préjudiciable à la tenue d’élections paisibles si cette tendance arrivait à se maintenir », a relevé un communiqué d'organisations de la civile dans un communiqué transmis à PressAfrik.
Pour ces leaders dont Alioune Tine, cité dans le document, « depuis l’élection présidentielle de 2000, nous n’avons jamais assisté à un dissensus et des désaccords aussi profonds sur le processus électoral ».
Il s’agit de la « rupture du dialogue politique, des désaccords autour du processus électoral et la récusation du ministre de l’Intérieur par l’opposition quant à sa capacité à organiser les prochaines consultations en toute impartialité ».
Pour faire face à cette situation, ces organisations proposent « la mise en place d’un cadre de mise en synergie autour de la question électorale afin de prévenir les risques d’un contentieux électoral préjudiciable à une gouvernance démocratique ».
Ils ont décidé de mettre en synergie leurs actions autour des principes et valeurs dont «la contribution à la consolidation du cadre démocratique et consensuel, et de travailler à favoriser la transparence du processus électoral».
Le document souligne que le cadre d’action «réaffirme sans équivoque son équidistance vis-à-vis de toutes les formations et coalitions politiques. Il entend œuvrer avec les pouvoirs publics, les organes de gestion des élections et toutes les parties prenantes à la compétition politique afin de trouver ensemble, les consensus nécessaires à l’organisation d’un scrutin apaisé et crédible».
Ce cadre est ouvert à toutes les organisations de la société civile qui expriment le désir d’y adhérer dans le respect du Code de conduite et des principes d’indépendance.
Pour ces leaders dont Alioune Tine, cité dans le document, « depuis l’élection présidentielle de 2000, nous n’avons jamais assisté à un dissensus et des désaccords aussi profonds sur le processus électoral ».
Il s’agit de la « rupture du dialogue politique, des désaccords autour du processus électoral et la récusation du ministre de l’Intérieur par l’opposition quant à sa capacité à organiser les prochaines consultations en toute impartialité ».
Pour faire face à cette situation, ces organisations proposent « la mise en place d’un cadre de mise en synergie autour de la question électorale afin de prévenir les risques d’un contentieux électoral préjudiciable à une gouvernance démocratique ».
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