Présent à la cérémonie d’installation de Khalifa Sall à la tête de la mairie de Dakar, le Président du Conseil Départemental de Thiès, Idrissa Seck en a profité pour donner son avis sur le procès Karim Wade. L’ancien premier ministre dit être disposé à venir témoigner devant la Cour de Répression de l’Enrichissement Illicite (CREI) si besoin en est. Toutefois, il avertit de ne dire que ce qu’il connait sur cette affaire qu’il qualifie de « procès politique ».
« Je suis à la disposition de mon pays. Si on m’interroge, je ne témoigne que sur ce que je sais a déclaré le maire de Thiès. Quand j’étais là, Karim Wade n’était pas encore là. C’est quand je suis parti, qu’il a été promu et qu’il est devenu ce qu’il est devenu.Donc, je ne peux pas témoigner sur ce qu’il a fait après ». Selon Idrissa Seck, la séparation de pouvoirs doit être respectée dans cette affaire afin que « notre justice et notre pays en sortent indemnes ».
Ainsi « la responsabilité de l’exécutif se limite à formuler des actions. Maintenant commence le rôle de la justice. Les magistrats instructeurs ont estimé disposer d’éléments suffisants pour envoyer Karim Wade devant la juridiction de jugement. Mais les magistrats doivent prendre tout ça et dire la vérité au nom du peuple et au nom du peuple seulement » soutient l’ancien maire de Thiès dans des propos relayés par nos confrères du quotidien "Enquête".
Et d’ajouter « S’il n’y a pas de préjudices causés au peuple sénégalais, nous souhaitons que Karim Wade soit libéré. S’il y a des préjudices causés au peuple sénégalais, nous souhaitons leur réparation mais sans violence ».
« Je suis à la disposition de mon pays. Si on m’interroge, je ne témoigne que sur ce que je sais a déclaré le maire de Thiès. Quand j’étais là, Karim Wade n’était pas encore là. C’est quand je suis parti, qu’il a été promu et qu’il est devenu ce qu’il est devenu.Donc, je ne peux pas témoigner sur ce qu’il a fait après ». Selon Idrissa Seck, la séparation de pouvoirs doit être respectée dans cette affaire afin que « notre justice et notre pays en sortent indemnes ».
Ainsi « la responsabilité de l’exécutif se limite à formuler des actions. Maintenant commence le rôle de la justice. Les magistrats instructeurs ont estimé disposer d’éléments suffisants pour envoyer Karim Wade devant la juridiction de jugement. Mais les magistrats doivent prendre tout ça et dire la vérité au nom du peuple et au nom du peuple seulement » soutient l’ancien maire de Thiès dans des propos relayés par nos confrères du quotidien "Enquête".
Et d’ajouter « S’il n’y a pas de préjudices causés au peuple sénégalais, nous souhaitons que Karim Wade soit libéré. S’il y a des préjudices causés au peuple sénégalais, nous souhaitons leur réparation mais sans violence ».
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