Après le putsch manqué du 23 novembre dernier, les arrestations se poursuivent à Guinée bissau
Le porte-parole armée Bissau guinéenne, colonel Ahmadou Nianga joint au téléphone par cette radio basée à Dakar, a affirmé que «toutes les personnes impliquées dans ce coup d’Etat ont été arrêtés, il ne manque que deux ou trois». L’officier de l’armée de la Guinée Bissau a souligné, a confirmé que «deux ont été arrêtés. On a demandé leur extradition», a-t-il indiqué. Colonel Ahmadou Nianga a, en outre, souligné qu’il a été demandé à tous les pays frontaliers de coopérer pour l’arrestation des différents auteurs de ce putsch manqué.
Les autorités affirment que la situation est maintenant sous contrôle, mais ce sont bien des tirs à l'arme lourde et à l'arme légère qui ont été entendus cette nuit aux alentours de la résidence du chef de l'Etat bissau-guinéen Joao Bernardo Vieira « Nino » Vieira, qui a eu un contact téléphonique dans la nuit avec le président sénégalais Abdoulaye Wade et qui lui a expliqué que des militaires tiraient sur sa résidence.
C’est au lendemain des élections législatives qui ont été largement remportées par l'ancien parti unique, le PAIGC (le Parti pour l'indépendance de la Guinée-Bissau), que des soldats ont tiré contre la résidence du président Joao Bernardo « Nino » Vieira dans la nuit de samedi à dimanche, à l'arme lourde et à l'arme automatique. Le président sénégalais Abdoulaye Wade a, juste après le putsch manqué, lancé un appel aux mutins pour qu'ils rentrent dans leurs casernes. La Guinée-Bissau a connu une dizaine de coups d'Etat militaires depuis son indépendance, en 1974.
Les autorités affirment que la situation est maintenant sous contrôle, mais ce sont bien des tirs à l'arme lourde et à l'arme légère qui ont été entendus cette nuit aux alentours de la résidence du chef de l'Etat bissau-guinéen Joao Bernardo Vieira « Nino » Vieira, qui a eu un contact téléphonique dans la nuit avec le président sénégalais Abdoulaye Wade et qui lui a expliqué que des militaires tiraient sur sa résidence.
C’est au lendemain des élections législatives qui ont été largement remportées par l'ancien parti unique, le PAIGC (le Parti pour l'indépendance de la Guinée-Bissau), que des soldats ont tiré contre la résidence du président Joao Bernardo « Nino » Vieira dans la nuit de samedi à dimanche, à l'arme lourde et à l'arme automatique. Le président sénégalais Abdoulaye Wade a, juste après le putsch manqué, lancé un appel aux mutins pour qu'ils rentrent dans leurs casernes. La Guinée-Bissau a connu une dizaine de coups d'Etat militaires depuis son indépendance, en 1974.
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