Le Premier ministre Ousmane Sonko devait se présenter devant les députés le 10 avril, c'est-à-dire demain jeudi. Cette rencontre a été reportée en raison du décès du Khalif général des Layènes survenu ce mercredi. Cependant, en conférence de presse ce mercredi soir, l’opposition, sous l'impulsion des députés de Takku Wallu et des non-inscrits, a annoncé qu’elle avait l’intention de boycotter cette rencontre. Le report de la visite du Premier ministre au 14 avril, suite au décès du Khalif général des Layénes, a toutefois modifié l’agenda.
Les députés de l’opposition, emmenés par Abdou Mbow et ses collègues, ont révélé leur décision de ne pas se rendre à l'Assemblée nationale, comme forme de protestation contre la récente adoption de la loi interprétative portant sur la loi d'amnistie, votée le 2 avril dernier. Selon eux, cette loi est un abus de pouvoir, et leur boycott s'inscrit dans un cadre de contestation plus large.
Les parlementaires de l'opposition estiment que l'adoption de cette loi interprétative constitue une tentative de la majorité de s'imposer de manière autoritaire, sans respect pour les principes de la Constitution et des droits des citoyens. Ils ont également déposé un recours en inconstitutionnalité concernant cette loi, soulignant qu’elle va à l'encontre des principes démocratiques et constitutionnels du pays.
Les députés de l’opposition, emmenés par Abdou Mbow et ses collègues, ont révélé leur décision de ne pas se rendre à l'Assemblée nationale, comme forme de protestation contre la récente adoption de la loi interprétative portant sur la loi d'amnistie, votée le 2 avril dernier. Selon eux, cette loi est un abus de pouvoir, et leur boycott s'inscrit dans un cadre de contestation plus large.
Les parlementaires de l'opposition estiment que l'adoption de cette loi interprétative constitue une tentative de la majorité de s'imposer de manière autoritaire, sans respect pour les principes de la Constitution et des droits des citoyens. Ils ont également déposé un recours en inconstitutionnalité concernant cette loi, soulignant qu’elle va à l'encontre des principes démocratiques et constitutionnels du pays.
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