Qu'ils soient chrétiens ou musulmans, les représentants religieux font tous le même constat. Ni l'arrivée des 1 600 soldats français de l'opération Sangaris, ni celle des 4 000 Africains de la Misca n'ont mis un terme aux violences entre anti-balaka et ex-Seleka et aux exactions contre des civils.
« Les forces qui sont sur place n’arrivent plus à sécuriser la population, pense l'imam Oumar Koubine Layama, président de la communauté islamique centrafricaine. Nous sommes terrorisés. Il faut l’intervention des casques bleus. La Misca et la mission Sangaris ne font pas leur travail. La Seleka et les anti-Balaka continuent à perpétrer des exactions sur le terrain. »
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