Une semaine après l'ultimatum de trois jours lancé au groupe 3R par la Minusca, la force onusienne a réagi samedi matin.
Ce sont les hélicoptères de combat qui ont commencé à survoler la ville avant qu'une vingtaine de véhicules blindés rentrent dans Bocaranga avec à leur bord des Casques bleus rwandais et les forces spéciales portugaises.
Après avoir essuyé quelques tirs en direction des hélicoptères, les Casques bleus ont répondu de manière modérée, assure-t-on à la Minusca. Plusieurs blessés sont à déplorer du côté de 3R et de nombreuses personnes ont fui la ville tandis que les 1 500 déplacés de la mission catholique ont trouvé refuge autour de la base onusienne.
A la Minusca, on se félicite que les premiers objectifs soient atteints, à savoir le départ du groupe armé de la ville, qui aurait fui vers l'Ouest, sûrement en direction de Koui, que les hommes de Sidiki occupent maintenant depuis plus d'un an.
Désormais, le défi de la Minusca est de continuer à sécuriser la ville et d'empêcher le retour des anti-balaka du général autoproclamé Passy Goulou. Autre chantier de taille : déloger les futures positions du groupe 3R et de ses alliés dans la région.
Vladimir Monteiro, porte-parole de la Minusca, explique la situation à Bocaranga.
Ce sont les hélicoptères de combat qui ont commencé à survoler la ville avant qu'une vingtaine de véhicules blindés rentrent dans Bocaranga avec à leur bord des Casques bleus rwandais et les forces spéciales portugaises.
Après avoir essuyé quelques tirs en direction des hélicoptères, les Casques bleus ont répondu de manière modérée, assure-t-on à la Minusca. Plusieurs blessés sont à déplorer du côté de 3R et de nombreuses personnes ont fui la ville tandis que les 1 500 déplacés de la mission catholique ont trouvé refuge autour de la base onusienne.
A la Minusca, on se félicite que les premiers objectifs soient atteints, à savoir le départ du groupe armé de la ville, qui aurait fui vers l'Ouest, sûrement en direction de Koui, que les hommes de Sidiki occupent maintenant depuis plus d'un an.
Désormais, le défi de la Minusca est de continuer à sécuriser la ville et d'empêcher le retour des anti-balaka du général autoproclamé Passy Goulou. Autre chantier de taille : déloger les futures positions du groupe 3R et de ses alliés dans la région.
Vladimir Monteiro, porte-parole de la Minusca, explique la situation à Bocaranga.
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