Joseph Kabila, président de la République du Congo, le 5 septembre 2013 à Kampala, en Ouganda. REUTERS/James Akena
Parmi les noms proposés par l’opposition, seules les figures politiques Pierre-Jacques Chalupa et Fernand Kutino pourraient être concernés par cette grâce présidentielle. Le premier, car sa condamnation n’est pas incompatible avec la possibilité d’être grâcié. Le second, parce qu’il a presque purgé l’ensemble de sa peine. Mais officiellement, aucun nom n’a encore été rendu public pour savoir qui est concerné par ces libérations.
Seules sont connues les conditions qui interdisent toute grâce : avoir été condamné pour violences sexuelles, corruption, assassinat, trahison ou encore détention illégale d’armes ou atteinte à la sûreté de l’Etat. Des conditions, qui de fait, excluent cinq des sept figures politiques, dont l’opposition avait demandé la libération.
→A (RE)LIRE : RDC: la grâce collective de Kabila sème la perplexité à Kinshasa
Résultat à Kinshasa, beaucoup s’étonnent de cette mesure très éloignée de ce que les délégués des concertations nationales avaient proposé. Pas la peine de convoquer des assises politiques pour aboutir à cela, a commenté l’avocat du Parti démocratie chrétienne, Yala Tutu. La décrispation politique passe par la libération des détenus d’opinion, pas de prisonniers de droit commun.
Source : Rfi.fr
Seules sont connues les conditions qui interdisent toute grâce : avoir été condamné pour violences sexuelles, corruption, assassinat, trahison ou encore détention illégale d’armes ou atteinte à la sûreté de l’Etat. Des conditions, qui de fait, excluent cinq des sept figures politiques, dont l’opposition avait demandé la libération.
→A (RE)LIRE : RDC: la grâce collective de Kabila sème la perplexité à Kinshasa
Résultat à Kinshasa, beaucoup s’étonnent de cette mesure très éloignée de ce que les délégués des concertations nationales avaient proposé. Pas la peine de convoquer des assises politiques pour aboutir à cela, a commenté l’avocat du Parti démocratie chrétienne, Yala Tutu. La décrispation politique passe par la libération des détenus d’opinion, pas de prisonniers de droit commun.
Source : Rfi.fr
Autres articles
-
Burkina Faso: la junte du capitaine Ibrahim Traoré décide de rétablir la peine de mort
-
Guinée-Bissau: la junte au pouvoir installe un Conseil national de transition
-
Mali: l'imam Dicko prend la tête d'une nouvelle coalition d'opposition non violente et clandestine
-
Corruption, fraude, violences... l'unité militaire britannique au Kenya dénoncée par le Parlement du pays
-
RDC-Rwanda : sous l'égide de Trump, Tshisekedi et Kagame signent un accord de paix




Burkina Faso: la junte du capitaine Ibrahim Traoré décide de rétablir la peine de mort


