Le découpage territorial et constitutionnel, personne ne peut s’y opposer, selon le ministre de l’Intérieur. Richard Muyej a prévenu au cours de sa conférence de presse que des sanctions sévères seront appliquées à quiconque oserait perturber le processus de la décentralisation : « Je vois qu’au niveau du gouvernement central, nous faisons tout pour approcher les vues et faire respecter les dispositions constitutionnelles telles que notre peuple les a approuvées en 2005. Nous attendrons le temps qu’il faut pour y aller. Mais on n’attendra pas dix ans ».
Si dans certaines régions le découpage territorial nouveau est bien accueilli, dans d’autres provinces il suscite une farouche opposition. Notamment au Katanga où des personnalités politiques mobilisent des populations pour s’y opposer. Des groupes armés réactivés et d’autres de création récente sont mis à contribution pour barrer la route à ce processus. Des militants antidécoupage ont notamment investi la ville de Lubumbashi le 23 mars dernier.
Source: RFI
Si dans certaines régions le découpage territorial nouveau est bien accueilli, dans d’autres provinces il suscite une farouche opposition. Notamment au Katanga où des personnalités politiques mobilisent des populations pour s’y opposer. Des groupes armés réactivés et d’autres de création récente sont mis à contribution pour barrer la route à ce processus. Des militants antidécoupage ont notamment investi la ville de Lubumbashi le 23 mars dernier.
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