L'armée mène ses offensives contre les groupes armés dans le territoire de Kalehe au Sud-Kivu depuis le 26 novembre. FDLR ou CNRD, « ce sont les mêmes » tranche le porte-parole militaire dans la région, le capitaine Dieudonné Kasereka. Pour lui, l’objectif est de « désarmer » ou « neutraliser complètement » les combattants.
Plusieurs localités autrefois occupées par les rebelles sont passées sous le contrôle de l’armée congolaise, affirme cette source militaire.
Mais « pourchasser les FDLR n’a pas été facile », avoue pour sa part un des commandants de l’armée dans la région. Les combattants se déplacent, en effet, avec leurs familles. L’armée n’a donc pas fait usage de « gros moyens », soutient-il auprès de RFI.
Pourchassées, des colonnes entières de rebelles, leurs femmes et enfants, se sont retranchées dans le parc de Kahuzi Biega ce weekend. D’autres se sont cachés dans les hauts plateaux de Kalehe, d’après Delphin Birimbi, le président de la société civile. Ces affrontements ne sont pas restés sans conséquences.
Quelque 2 700 familles ont trouvé refuge dans la localité de Bibatama où la Monusco dispose d’une petite base temporaire.
Les conditions de vie y sont précaires, rapporte Delphin Birimbi. Mais les affrontements risquent de durer dans la région. L’armée affirme vouloir y pourchasser aussi les miliciens Maï-Maï, que ce soit les Nyatura ou les Raia Mutomboki.
Plusieurs localités autrefois occupées par les rebelles sont passées sous le contrôle de l’armée congolaise, affirme cette source militaire.
Mais « pourchasser les FDLR n’a pas été facile », avoue pour sa part un des commandants de l’armée dans la région. Les combattants se déplacent, en effet, avec leurs familles. L’armée n’a donc pas fait usage de « gros moyens », soutient-il auprès de RFI.
Pourchassées, des colonnes entières de rebelles, leurs femmes et enfants, se sont retranchées dans le parc de Kahuzi Biega ce weekend. D’autres se sont cachés dans les hauts plateaux de Kalehe, d’après Delphin Birimbi, le président de la société civile. Ces affrontements ne sont pas restés sans conséquences.
Quelque 2 700 familles ont trouvé refuge dans la localité de Bibatama où la Monusco dispose d’une petite base temporaire.
Les conditions de vie y sont précaires, rapporte Delphin Birimbi. Mais les affrontements risquent de durer dans la région. L’armée affirme vouloir y pourchasser aussi les miliciens Maï-Maï, que ce soit les Nyatura ou les Raia Mutomboki.
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