La police nationale s’active depuis samedi 22 septembre à Kinshasa pour tenter d’éradiquer le phénomène « Ujana », la prostitution des enfants en bas âge.
Elles se promènent en groupe le long des avenues très fréquentées. Leurs âges varient entre treize et dix-sept ans. On dit d'elles qu'elles méprisent mettre les sous-vêtements. Tout Kinshasa les appelle « Ujana », « jeunesse » ou « adolescence » en swahili.
La police vient de lancer contre elles une opération « coup de poing » qui a pour but de « lutter » contre ce « groupe de mineures qui sont à la base de la dépravation des mœurs, qui se dénudent au vu de tout le monde et qui se prostituent », explique le général Sylvano Kasongo.
La justice est mise à contribution dans cette opération, rassure le commissaire provincial de la police pour la capitale : « Les mineures sont des irresponsables, mais les partenaires sont des adultes qui seront punis conformément à la loi. C’est un viol. Tandis que les mineurs, on va les amener au tribunal pour enfants ».
Le général Sylvano Kasongo demande également aux parents « de récupérer leurs enfants » car, affirme-t-il, « la plupart de ces enfants sont en conflit avec leur famille ».
Pour le commissaire provincial de la police dans la capitale, il n'y a pas à craindre de dérapage. Les femmes policières et les hauts gradés sont sur le terrain.
Elles se promènent en groupe le long des avenues très fréquentées. Leurs âges varient entre treize et dix-sept ans. On dit d'elles qu'elles méprisent mettre les sous-vêtements. Tout Kinshasa les appelle « Ujana », « jeunesse » ou « adolescence » en swahili.
La police vient de lancer contre elles une opération « coup de poing » qui a pour but de « lutter » contre ce « groupe de mineures qui sont à la base de la dépravation des mœurs, qui se dénudent au vu de tout le monde et qui se prostituent », explique le général Sylvano Kasongo.
La justice est mise à contribution dans cette opération, rassure le commissaire provincial de la police pour la capitale : « Les mineures sont des irresponsables, mais les partenaires sont des adultes qui seront punis conformément à la loi. C’est un viol. Tandis que les mineurs, on va les amener au tribunal pour enfants ».
Le général Sylvano Kasongo demande également aux parents « de récupérer leurs enfants » car, affirme-t-il, « la plupart de ces enfants sont en conflit avec leur famille ».
Pour le commissaire provincial de la police dans la capitale, il n'y a pas à craindre de dérapage. Les femmes policières et les hauts gradés sont sur le terrain.
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