Embrassades, larmes, cris… Moment d’intense émotion lorsqu’Annie Chebeya est sortie de l’aérogare. Elle a tout de suite évoqué les raisons de sa visite au pays : « Je suis venue répondre à une invitation pour un évènement qu’ils ont en train d’organiser. J’ai de la tristesse. Je croyais peut-être que mon mari serait à l’extérieur en train de m’attendre, avec mon frère. Souvent, c’était comme ça, quand je revenais d’un voyage, je les retrouvais à l’extérieur. C'est une tristesse pour moi. »
Annie Chebeya se montre impatiente quant à la réouverture du procès sur le double assassinat le 1er juin 2010, de son époux Floribert Chebeya et son compagnon d’infortune Fidèle Bazana : « Nous voulons que le procès soit ouvert et qu’on recommence même à zéro. Parce que l’autre [procès] qui était passé avant, c’était une parodie. D’ailleurs, mon souhait était que cette fois-ci ce soit une nouvelle chambre, qu’on change maintenant le juge. »
À propos de ce crime, trois policiers en exil ont fait des aveux sur RFI. Deux autres : le commandant du bataillon Simba Christian Kenga Kenga et son bras droit Jacques Mugabo sont aujourd’hui aux arrêts.
Soupçonné d'avoir ordonné ce crime, l’ancien inspecteur général de la police, le général John Numbi, a fui. Il est recherché pour association des malfaiteurs et désertion à l’étranger. Le dossier est déjà à la Haute Cour militaire qui doit fixer la date de la réouverture du procès.
Annie Chebeya se montre impatiente quant à la réouverture du procès sur le double assassinat le 1er juin 2010, de son époux Floribert Chebeya et son compagnon d’infortune Fidèle Bazana : « Nous voulons que le procès soit ouvert et qu’on recommence même à zéro. Parce que l’autre [procès] qui était passé avant, c’était une parodie. D’ailleurs, mon souhait était que cette fois-ci ce soit une nouvelle chambre, qu’on change maintenant le juge. »
À propos de ce crime, trois policiers en exil ont fait des aveux sur RFI. Deux autres : le commandant du bataillon Simba Christian Kenga Kenga et son bras droit Jacques Mugabo sont aujourd’hui aux arrêts.
Soupçonné d'avoir ordonné ce crime, l’ancien inspecteur général de la police, le général John Numbi, a fui. Il est recherché pour association des malfaiteurs et désertion à l’étranger. Le dossier est déjà à la Haute Cour militaire qui doit fixer la date de la réouverture du procès.
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