Durant les audiences, plusieurs éléments à charge contre Joseph Kabila ont été présentés par l'accusation, notamment une interview dans laquelle celui-ci affirme que le M23 incarne les aspirations du peuple congolais, mais aussi un discours de l’ancien président ainsi qu'une déclaration de l’un de ses proches prônant le renversement du régime en place.
Et puis il y a aussi un présumé témoignage d’Éric Nkuba, un condamné à mort présenté comme proche du chef de l’AFC/M23. Selon la justice militaire congolaise, celui-ci a en effet rapporté, lors de ses auditions, des propos compromettants qu’aurait eus Joseph Kabila lors d'une conversation avec Corneille Nangaa : les deux hommes y auraient en particulier évoqué un plan contre Félix Tshisekedi.
Jugé par contumace
Du côté des parties civiles, les avocats mandatés par le gouvernement demandent près de 25 milliards de dollars de réparations, tandis que ceux des provinces du Sud-Kivu, de l'Ituri et du Nord-Kivu en réclament 21 milliards de plus ainsi que la saisie des avoirs bancaires de l'ancien président.
Jugé par contumace, ce dernier n’était pas représenté lors de son procès tandis que son parti, le Parti du peuple pour la reconstruction et la démocratie (PPRD), dénonce quant à lui « un procès bidon, une décision politique à laquelle on va donner un habillage judiciaire ».
Et puis il y a aussi un présumé témoignage d’Éric Nkuba, un condamné à mort présenté comme proche du chef de l’AFC/M23. Selon la justice militaire congolaise, celui-ci a en effet rapporté, lors de ses auditions, des propos compromettants qu’aurait eus Joseph Kabila lors d'une conversation avec Corneille Nangaa : les deux hommes y auraient en particulier évoqué un plan contre Félix Tshisekedi.
Jugé par contumace
Du côté des parties civiles, les avocats mandatés par le gouvernement demandent près de 25 milliards de dollars de réparations, tandis que ceux des provinces du Sud-Kivu, de l'Ituri et du Nord-Kivu en réclament 21 milliards de plus ainsi que la saisie des avoirs bancaires de l'ancien président.
Jugé par contumace, ce dernier n’était pas représenté lors de son procès tandis que son parti, le Parti du peuple pour la reconstruction et la démocratie (PPRD), dénonce quant à lui « un procès bidon, une décision politique à laquelle on va donner un habillage judiciaire ».
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