Le milliard récupéré auprès d’« entreprises qui ont accepté de transiger», la dame de fer n’est pas décidé à donner de nom » tout comme le premier recouvrement pour le quel, elle estime n’avoir commis aucune faute. car ayant, tout simplement fait ce qu'il y avait à avait à faire.
« Il n’y a vraiment pas de quoi fouetter un chat. J’ai juste réceptionné un chèque. La bonne gouvernance sert à ramener les fonds publics à leur destination prioritaire. Toutes les procédures seront respectées. Nous avons mené plusieures actions à l’issue desquelles certains partenaires économiques de l’Etat ont transigé pour payer des dettes qu’ils devaient à l’Etat. Nous avions deux choix et c’était à prendre ou à laisser : soit choisir la procédure contentieuse, le plus souvent avec un arbitrage international, ce qui peut durer des années ou avoir une discussion interne et avoir le même résultat dans les délais plus courts. Nous avons choisi la deuxième alternative et les entreprises ont accepté de transiger à condition qu’on préserve leur confidentialité», précise Aminata Touré qui ne manque pas d’ironiser sur les colonnes du journal « L’Observateur ».
« Si remettre un chèque d’un milliard au ministre du budget est une faute, j’aimerai en faire autant que possible », lâche-elle.
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