Le rapport du Fonds monétaire international (Fmi) salue les efforts que le gouvernement du Sénégal est en train de dépenser pour rationaliser la masse salariale. C’est le constat fait par les services d’Amadou Ba qui déclenché ces procédures. En effet, le ministère de l’Economie et des Finances a constaté que la masse salariale s’élevait à 533 milliards de F Cfa (6,5% du Pib), contre les 510 milliards de F Cfa (6,2% du Pib) budgétisés, en raison du classement erroné de certaines dépenses et de la sous-estimation de dépenses liées à l’enseignement supérieur et aux ambassades.
Et, pour contrer une augmentation projetée de 25 milliards de F Cfa (0,2% du Pib), le Fmi annonce que les autorités ont entrepris de réduire les heures supplémentaires, les primes de performance, les avancements automatiques, les prestations hospitalières, les paiements administratifs.
En sus de cela, elles contrôleront et limiteront le nombre d’enseignants régularisés chaque années et réduiront le personnel dans les ambassades et consulats. Les nouvelles embauches dans le secteur public seront limitées, elles entendent aussi maitriser les dépenses de services téléphoniques, installer des compteurs pour limiter la consommation d’eau et plafonner les bourses au niveau actuel.
A ces mesures viennent s’ajouter la suppression de 12 agences identifiées et le redéploiement de son personnel, huit autres agences seront fusionner en trois agences.
La fiscalité n’est pas non plus épargnée par ces mesures. Les procédures de paiement des impôts seront modernisées, avec la suppression des paiements en espèces. Il sera aussi mis sur pied des Centres des moyennes entreprises (Cme), les capacités du service de contrôle fiscal seront renforcées entre autres.
Et, pour contrer une augmentation projetée de 25 milliards de F Cfa (0,2% du Pib), le Fmi annonce que les autorités ont entrepris de réduire les heures supplémentaires, les primes de performance, les avancements automatiques, les prestations hospitalières, les paiements administratifs.
En sus de cela, elles contrôleront et limiteront le nombre d’enseignants régularisés chaque années et réduiront le personnel dans les ambassades et consulats. Les nouvelles embauches dans le secteur public seront limitées, elles entendent aussi maitriser les dépenses de services téléphoniques, installer des compteurs pour limiter la consommation d’eau et plafonner les bourses au niveau actuel.
A ces mesures viennent s’ajouter la suppression de 12 agences identifiées et le redéploiement de son personnel, huit autres agences seront fusionner en trois agences.
La fiscalité n’est pas non plus épargnée par ces mesures. Les procédures de paiement des impôts seront modernisées, avec la suppression des paiements en espèces. Il sera aussi mis sur pied des Centres des moyennes entreprises (Cme), les capacités du service de contrôle fiscal seront renforcées entre autres.
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